Surnommé « l’incroyable Hulk », un détenu de la prison de Nancy a
réussi à atteindre la coursive du pénitencier. Pour y parvenir, il a arraché un lampadaire de la cour de promenade,
brisé un volet métallique puis défoncé une vitre à coups d’extincteur.
La peine de cet homme âgé de trente ans expire en 2012. « L’individu s’est ensuite saisi d’un extincteur afin de briser la
vitre d’un bureau dans lequel il a fini par s’asseoir, se rouler une
cigarette et attendre qu’on vienne l’y cueillir », explique Bernard
Cabon, secrétaire général adjoint de l’Union fédérale autonome
pénitentiaire (UFAP) du grand Est. Selon la même source, l’homme s’est livré à la violence pendant plus
d’une heure, ensuite il a été « maîtrisé d’une manière professionnelle,
menotté et remis dans sa cellule ».
Le 6 octobre dernier, il avait entièrement détruit sa cellule à la
maison d’arrêt d’Epinal dans les Vosges. « Il avait à l’époque arraché une fenêtre, une grille, descellé les
barreaux et cassé une tablette en béton », rappelle Bernard Cabon. « On
avait l’impression qu’un marteau-piqueur était passé par là »,
poursuit-il. Le détenu est décrit comme « une masse impressionnante » de muscles
par les personnels pénitentiaires qui ne peuvent mettre « qu’un seul
cran lorsqu’on lui passe les menottes » en raison de la grosseur de ses
poignets, explique Eric Gemmerlé, syndicaliste UFAP.« Avant Epinal, il était à Strasbourg: tous les détenus de la cour de
la prison s’étaient mis contre lui. Il en est ressorti avec quelques
égratignures », poursuit-il. Le syndicaliste a indiqué que le forcené a été pris en charge par les
équipes régionales d’intervention et de sécurisation et l’ont transféré
vers le centre pénitentiaire de Metz.
Rodan, un mâle cigogne a parcouru environ 13.000 kilomètres pour
rencontrer une nouvelle fois Malena, sa bien-aimée handicapée qui vit
dans un village de Croatie. Le quotidien Jutarnji List explique que pour la cinquième année
consécutive, Rodan réalise le voyage depuis l’Afrique du Sud, pour
retrouver Malena qui l’attendait à Brodski Varos (est de la Croatie). « Il fait cela depuis cinq ans », a expliqué au journal Stjepan Vokic
qui s’occupe de Malena, cigogne dans l’incapacité de voler depuis
qu’elle a été blessée par un tir de chasseur en 1993.
« Cette année, il est arrivé un peu en avance », a dit M. Vokic,
ajoutant que Rodan semblait « épuisé » par le voyage. Ces quatres dernières années, le couple a mis au monde quatre couvées
de cigogneaux. Malena ne pouvant le faire, Rodan a appris à ses petits à
voler.
Cette année de nouveaux petits verront le jour et en août, Rodan et sa
progéniture partiront passer l’hiver an Afrique du Sud.Malena restera à Brodski Varos et attendra le retour une nouvelle
fois de son prince charmant.
Les cigognes sont très fidèles…c’est beau l’amour.
Le quotidien local La Gazzetta di Parma, a rapporté qu’un habitant de
Parme a demandé le remboursement des implants mammaires qu’il avait
offerts à son ex-femme.Le couple s’était marié il y a cinq ans.
Après une année de mariage, il a fait cadeau à sa femme d’une opération
de chirurgie esthétique pour augmenter son tour de poitrine.L’opération a été une réussite qui a coûté 3 500 euros. Malgré tout
il divorçait quatre plus tard.Au moment du partage des biens, le mari a demandé à son ex-femme le
remboursement de ce « cadeau ».
Des chercheurs américains de l’université Wayne State, ont affirmé
que plus on sourit, plus on vit longtemps.
Ils ont étudié 230 photographies de joueurs de la ligue américaine de
base-ball prises en 1952, les conclusions sont publiées cette semaine
dans la revue « Psychological Science ». Les sportifs ont été rangés en trois catégories selon leurs
expressions sur les photos :
- « aucun sourire », pour les impassibles
- « sourire partiel », pour ceux qui contractaient seulement les
zygomatiques autour de la bouche
- « grand sourire », pour ceux qui souriaient à pleine bouche, plissant
les yeux et les joues. Ils sont arrivés au constat suivant : les joueurs de la première
catégorie étaient décédés en moyenne à 72,9 ans, ceux de la deuxième
catégorie à 75 ans et les plus souriants à 79,9 ans. « Les résultats de cette étude sont en accord avec les autres
recherches démontrant que les émotions entretiennent une relation
positive avec la santé mentale, la forme physique et la longévité »,
est-il écrit dans l’article. « De plus en plus de recherches montrent que les émotions de base,
comme le bonheur ou la tristesse, génèrent des réactions qui influencent
le bien-être physique ou mental et la longévité », poursuivent les
scientifiques.
Alors souriez, ne vous retenez pas et vous deviendrez vieux !
Le diocèse de Nancy a lancé une campagne de publicité, la slogan est :
« En 2010 Jésus crise. Donnez, que diable ! ».
Ce slogan a provoqué quelques remous au sein de la la communauté
catholique locale, mais le diocèse a la volonté « de provoquer le
débat », selon une porte-parole. « Jusqu’alors, chaque année, comme tous les diocèses, nous avions une
campagne gentillette qui rappelle qu’il faut donner. Or, nous avons
constaté que nous perdons des donateurs, dont la moyenne d’âge est de 73
ans », explique Françoise Penigaud, attachée de presse du diocèse de
Nancy. Sur l’affiche, « En 2010 Jésus crise » est en grosses lettres noires,
et « Donnez, que diable ! », blanc sur fond rouge, est apposé en bas à
droite.
L’affiche est visible sur une centaine de panneaux publicitaires sur
l’ensemble de la Meurthe et Moselle. « Nous nous sommes dits : situons-nous en rupture, non pas pour
choquer, mais pour provoquer le débat, pour que les gens s’interrogent.
Or, quel meilleur message que l’humour », demande la porte-parole du
diocèse. Françoise Penigaud raconte que le diocèse a eu un doute sur ce
visuel, mais « l’un de nos laïcs, par ailleurs professeur de marketing
dans l’école de commerce de Nancy, nous a convaincu de la pertinence de
la démarche ». « C’est le poids des mots : Jésus crise, il n’est pas content, il
s’indigne », explique la porte-parole, qui reconnaît que « les gens en
interne sont parfois choqués, mais en aucun cas on ne peut dire que nous
somme blasphématoires ».L’attachée de presse du diocèse affirme que l’instance catholique
départementale a besoin de récolter 3,3 millions d’euros pour payer ses
prêtres et laïcs en 2010.
« En 2009, nous avions récolté 2,8 millions d’euros de dons de
fidèles », précise-t-elle.
Le quotidien « The National » à Dubaï, a rapporté lundi, que les
chefs de grands restaurants de Dubaï ont été informés par la
municipalité qu’ils ne pouvaient plus utiliser l’alcool dans la
préparation de leurs plats. Depuis 2003, cette interdiction existe mais la municipalité veut la
faire appliquer suite à des plaintes de clients musulmans. Ils n’avaient
pas été informés que les plats de certains restaurants étaient préparés
avec de l’alcool.
« The National » titre « Au revoir coq au vin ». Le quotidien 7Days de
son côté a listé tous les plats concernés, mentionnant la Crêpe suzette. D’après « The National », nombreux chefs ne sont pas contents,
expliquant que l’interdiction d’alcool va faire perdre du goût à leurs
préparations.
Certains veulent retirer du menu des plats ainsi préparés, et d’autres
espèrent trouver un compromis avec la municipalité. Cette interdiction ne concerne pas les boissons alcoolisées, celle-ci
continuent d’être servies dans les restaurants et hôtels possédant une
licence.
A la dernière minute, la crémation d’une personne en surpoids a été
facturée plus cher, lors de la cérémonie funéraire à Montussan
(Gironde), le motif donné: le mort pesait plus que prévu. « Michel était un bon vivant. A sa mort, il voulait qu’on le brûle et
qu’on passe à autre chose. S’il avait su qu’on ferait payer une surtaxe
pour son poids, il aurait dit en riant: il faut faire un régime avant
de mourir, ça coûtera moins cher ». Chantal Correia, sa belle-sœur a raconté à l’AFP que lors des
funérailles le 9 mars, une personnes des pompes funèbres lui a chuchoté :
« Il y a un petit problème, il y a quinze kilos de plus (à facturer),
il y a une surtaxe, il faudra passer au bureau pour régler ça ». Le poids annoncé par sa famille était 120 kilos, elle croyait que
l’homme avait perdu du poids pendant son coma avant de mourir. A
l’origine il pesait 125 kilos.
Par conséquent, les pompes funèbres avait estimé à 565 euros le prix de
la crémation, selon sa belle-sœur. « On nous a dit qu’on s’était trompé » et que le disparu pesait en
fait 145 kilos et non 120, « il aurait pris du poids pendant son coma »,
a ajouté Mme Correia, précisant qu’au total, le cercueil pesait
finalement 175 kilos.
Le crématorium de Montussan applique un tarif plus élevé au-delà de 160
kilos cercueil compris, soit 830 euros.
« La crémation dure plus longtemps, la consommation de gaz est plus
importante, on a plus de charges, c’est comme tout », explique une
représentante des établissements Virgo.
Un homme d’affaires malaisien qui s’est fait mordre par un crocodile,
alors qu’il cherchait une balle perdue dans un trou d’eau, a été
indemnisé par un golf. Hong Kee Siong avait réussi à échapper au reptile, en le frappant sur
la gueule.
Le blessure a nécessité 38 points de suture à la jambe gauche. Cet évènement s’est passé en 2004, six ans après il a accepté l’offre
d’indemnisation proposée par la compagnie d’assurance, 43 000 ringgit
soit 13 000 dollars.
La direction du golf A’Famosa, situé près de la ville historique de
Malacca, ne veut pas chasser les crocodiles. Les animaux se trouvent le
long d’un parcours qui porte bien son nom, « parcours du crocodile ». Malgré les pancartes indiquant la présence éventuelle d’un animal,
l’homme d’affaires avait pris des risques en descendant dans le trou
d’eau pour récupérer sa balle, a expliqué le directeur du golf Allan
Chee.
Pour cette raison, celui-ci regrette que l’assureur ait décédé
d’indemniser le golfeur sans l’avertir.
PPrama, la lettre hebdomadaire de la préfecture de police a rapporté
que des policiers ont arrêté une voiture ciculant au pas sur le
boulevard périphérique. Le conducteur et son passager étaient entrain de fumer un joint et un
kilo de cannabis était a bord du véhicule.
Les policiers ont été intrigués par ce véhicule qui roulait vraiment
lentement, alors que la circulation était fluide dans la soirée du 16
mars. Après avoir arrêté la voiture, ils ont constaté que le chauffeur
venait de consommer des stupéfiants et son passager finissait
tranquillement de fumer un joint.
Dans un état second, celui-ci remet aux policiers un sachet contenant un
kilo de cannabis.La brigade des stupéfiants a été saisie de l’enquête. Le conducteur et son passager ont reconnu les faits et ont été déférés
au parquet de Paris.