C’est possible désormais de donner à une fleur une odeur qu’elle n’a
pas, ou de rendre son parfum plus doux, en manipulant les gênes du
végétal. Les gênes des essences qui définissent le parfum d’une fleur ont été
découvertes par une équipe de chercheurs de l’institut des Aliments et
des sciences agricoles de l’Université de Floride.
Cette découverte ouvre la voie pour « changer » ou « tonifier » les composants d’un arôme. « Pendant longtemps, les cultivateurs se sont focalisés sur l’aspect
de la fleur, sa taille, sa couleur et combien de temps dure sa
floraison, mais son parfum était ignoré », a dit David Clark,
professeur d’horticulture à l’université de Floride. Les chercheurs expliquent que dans le futur, on pourra choisir dans une multitude d’arômes ou même faire des fleurs sans odeur.
M. Clark et des chercheurs ont analysé les gênes de 8 000 pétunias pendant 10 ans.
Cette recherche leur a permis de découvrir que le gène du parfum de
l’huile de rose est le même qui donne un goût agréable à la tomate. Avec la manipulation de ce gêne, les chercheurs sont parvenus à
créer des tomates avec une meilleure saveur, qu’ils sont disposés à
commercialiser.
Ils ont réalisé également des roses avec un parfum plus développé.
Le quotidien The Times a expliqué qu’une école primaire anglaise a interdit à ses élèves de s’échanger des cartes de Saint-Valentin. Les responsables ont jugés que les enfants étaient trop jeunes pour l’amour. « Certains enfants et parents encouragent les conversations sur les petits amis ou les petites amies », écrit le principal de l’école primaire Ashcombe, située à Somerset (sud-ouest). « Nous estimons que de telles idées doivent attendre que les enfants soient suffisamment mûrs émotionnellement et socialement afin de comprendre l’engagement que cela représente d’avoir ou d’être un petit ami ou une petite amie », ajoute-t-il dans une lettre aux parents publiée par The Times. Cet établissement accueille plus de quatre cents élèves de quatre à onze ans, et les menace de confisquer toute carte de Saint Valentin.
Plusieurs coyotes ont été détectés par la police de New York, dans les parcs de la ville, en plein cœur de Manhattan. Le New York Times a publié que l’Université de Columbia a envoyé
dimanche un courriel à ses étudiants pour les alerter de la présence de
trois coyotes dans le campus, ce qui a été confirmé par la police.
Le mois dernier , un autre animal avait été repéré dans un quartier nord de Manhattan, Harlem. Un autre a encore été vu à Central Park par un passant, qui l’a photographié et a publié l’image sur Internet.
Des experts expliquent que la période de reproduction pousse les coyotes loin de leur habitat naturel des prairies.
Du « botulisme » au « béhachélisme » : le président des amis de Jean
Baptiste Botul, personnage fictif, Frédéric Pagès, a rendu un hommage
plein de dérision au philosophe Bernard-Henri Lévy qui s’est laissé
piéger par ce canular littéraire. « C’est une divine surprise de voir le nom de Botul cité par BHL
entre Aristote et Lévinas. C’est inespéré et pour tout dire
surprenant », relève dans une vidéo diffusée sur le site d’information
Médiapart Frédéric Pagès, agrégé de philo, journaliste au Canard
Enchaîné et l’un des créateurs de Jean-Baptiste Botul voici une dizaine
d’années. « Nous sommes ainsi passés d’une philosophie de tradition orale
(celle de Botul) à une philosophie télévisuelle, du « botulisme » au
« béhachélisme »", ironise sur la même vidéo l’écrivain Hervé Le
Tellier, membre éminent de l’association. « On pourrait se demander aussi si BHL existe en tant que philosophe
(…) et si Botul, bien que mort en 1947, n’aurait pas eu peut-être la
prémonition de l’irruption, des années plus tard, du béhachélisme en
France », s’interroge Frédéric Pagès. BHL s’est référé avec le plus grand sérieux à « une série de
conférences aux néo-Kantiens du Paraguay » donnée par Botul, dans son
dernier livre « De la guerre en philosophie », à la page 122.
Botul est un prétendu spécialiste de Kant au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Mais Bernard-Henri Lévy ne se cache pas, il avoue avoir cité « La
vie sexuelle d’Emmanuel Kant » de Botul et assuré que nombre de
critiques étaient avant lui tombés dans le panneau. « Quoiqu’il en dise, c’est le premier à être tombé comme ça les deux
pieds dans le piège. Dans les articles consacrés à Botul, les autres
flairaient quelque chose et restaient sur leurs gardes, même les
étrangers », insiste Frédéric Pagès. « Il n’y a pas eu intention de nuire (…) On n’a jamais eu l’idée de
piéger quelqu’un, ni BHL bien sûr, c’est lui qui est tombé lui-même »
dans le piège, assure-t-il.
Et « quand un canular a 15 ans, on peut s’imaginer qu’il est connu », relève Hervé Le Tellier sans pitié.
69 Raisons de préférer la bière aux femmes
01- Une bière froide est une bonne bièreAbandonnés par leur mère, deux enfants sont envoyés dans un centre
de réadaptation sur l’île de Hôzuki. Kokoro et sa petite soeur aveugle,
Yume, découvrent que leur nouveau foyer compte seulement quatre élèves,
pour autant de professeurs.
Petit à petit, les langues se délient.
Les histoires des autres pensionnaires font froid dans le dos : à les
en croire, meurtres, disparitions, visions fantomatiques et sombres
machinations se succèdent sur cette île inquiétante… Pour survivre, les
enfants n’ont qu’un seul mot d’ordre : ne se fier aux adultes sous
aucun prétexte.