Le quotidien turc Sabah a annoncé qu’un turc a eu l’incroyable
surprise d’apprendre par des tests ADN, qu’il est le père d’un seul de
ses jumeaux, alors qu’il avait engagé une procédure de divorce.
Cet agent de sécurité a su la vérité, quand il commencé à douter de la
fidélité de sa femme, et a fait faire les tests ADN sur ses deux
jumeaux de trois ans. Phénomène scientifique rare, le test est à 99,9 % fiable, et a été
confirmé par un autre laboratoire à la demande du tribunal chargé du
divorce.
La mère entretenait une relation avec un homme, avant d’être obligée, par sa famille, de se marier avec AK. Des jumeaux de pères différents est un phénomène très rare chez les humains, et se nomme super-fécondation.
C’est plus fréquent chez les animaux, chats et chiens. Il survient lorsque la femme produit deux ovules dans un cycle
menstruel, a expliqué le professeur Rusen Aytac, chef du département de
gynécologie de l’Université d’Ankara.
« Si cette femme a des relations sexuelles avec deux hommes différents
dans une courte période, cela peut aboutir à une grossesse double,
chaque ovule portant un matériel génétique différent », a-t-il expliqué. Mais cette histoire se finit tristement, AK a décidé de conserver la
garde de son fils et l’autre enfant a été placé dans une institution,
explique Sabah.
La mère a reçu des menaces de mort de ses parents et de ceux de son
mari. Elle a donc obtenu une injonction du tribunal leur interdisant de
s’approcher de moins de 500 mètres de son domicile.
Au moment du passage en douane, une Russe qui tentait d’introduire
illégalement dans son pays 50 perroquets cachés sous ses vêtements, a
été repérée. Les perroquets ont commencé à jaser à la douane. Les animaux étaient dans des poches spécialement aménagées, et se
sont manifestés quand la femme passait le contrôle à la frontière entre
les deux pays, a précisé la direction des douanes de la région russe
d’Extrême-Orient. « Ils se sont réveillés à ce moment, et ont commencé à discuter
activement entre eux. Il était tout simplement impossible pour
l’inspecteur de la douane et pour les touristes de ne pas entendre les
perroquets », relève le communiqué. La femme venait de Chine. La valeur des perroquets a été estimée à 10.000 roubles (235 euros).
Une procédure a été engagée à l’encontre de la femme pour recel de marchandises.
Pour résoudre ses problèmes financiers, un imam d’une mosquée dans l’est du Liban a organisée son propre enlèvement.
Mohammad Majzoub, l’imam sunnite d’une mosquée dans la localité de
Majdel Aanjar dans la région de la Békaa, a été arrêté pour « avoir
planifié un enlèvement fictif », a indiqué le responsable des services
de sécurité. Sa voiture a été retrouvée sur la route secondaire à Majdel Aanjar, les clignotants allumés et le turban de l’imam sur le sol.
En raison du caractère confessionnel « sensible » de la région, la disparition de Mohammad Majzoub a provoqué un tollé.
Majdel Aanjar est une localité sunnite dans un secteur à majorité chiite. Les habitants de Majdel Aanjar ont été appelés « au calme » par les
députés. Des dignitaires da la localité sont même aller jusqu’à appeler
les forces de sécurité à retrouver le cheikh en toute urgence « pour
préserver la paix civile ». Une délégation a même rencontré le mufti de la République pour discuter de la question.
C’est jeudi soir que les forces de sécurité l’ont retrouvé dans une
maison de Lala, une localité proche de Majdel Aanjar. Il avait les
cheveux et la barbe rasés, mais sain et sauf.
Tous les habitants savent que le cheikh âgé de vingt ans, est rempli de dettes.
Une étude américaine montre qu’il faut négocier une augmentation de salaire après avoir bu une boisson sucrée.
Un taux élevé de sucre dans le sang aide à prendre des décisions sages, tandis qu’un manque de glucose conduit à l’impulsivité. Cette étude a été faite par des chercheurs de l’université du Dakota
du Sud. Ils ont posé une série de questions à 65 étudiants : ils
avaient le choix de prendre une certaine somme d’argent le lendemain ou
une somme plus élevée plus tard.
La moitié des personnes avait bu un soda avant de répondre, l’autre moitié avait le ventre vide. « Dix minutes après avoir bu un soda sucré, les participants ont
montré leur préférence pour une récompense plus élevée mais plus
éloignée dans le temps », a expliqué à l’AFP Xiao-Tian Wang, l’un des
psychologues ayant dirigé cette étude publiée cette semaine dans la
revue Psychological Science. « C’est comme lorsqu’on mange: si l’on a un taux de sucre élevé dans
le sang, on peut attendre plus longtemps avant de manger », a résumé ce
chercheur. « Nous avons mené cette étude pour savoir si le taux de glucose dans
le sang régulait non seulement le comportement alimentaire, mais aussi
la prise de décision. En d’autre termes, peut-on attendre plus
longtemps pour obtenir une récompense plus élevée si le taux de sucre
est plus haut? ». « Nous avons découvert que la réponse était oui », a conclu
Xiao-Tian Wang, qui a co-dirigé cette étude avec un autre chercheur en
psychologie, Robert Dvorak. Quant aux étudiants qui n’avaient pas bu de boisson édulcorée,
étaient plus susceptible de réagir de manière impulsive et à choisir la
somme immédiate, mais moins importante. « Une boisson « light » envoie au corps un message selon lequel il y a une « crise énergétique »".
En réaction, le corps « essaie de s’emparer immédiatement de tout ce
qui est disponible. Les boissons « light » ont donc pour effet
d’accroître l’impulsivité », a résumé le chercheur.
Un film intitulé « Hantu Puncak Datang Bulan » (« Le cycle menstruel du fantôme du Puncak ») est sorti jeudi à Jakarta. Le film a été approuvé par le Bureau officiel chargé de la censure, qui a toutefois ordonné de nombreuses coupures. Ce nouveau film a été déconseillé aux croyants d’aller le voir, par la plus haute autorité musulmane d’Indonésie.
Amirsyah Tambunan, l’un des responsables du Conseil des oulémas a
estimé que « de nombreuses scènes sont contraires aux principes de
l’islam ». « J’ai regardé la bande-annonce. Elle présente des scènes de sexe,
de violence, de décapitation (…) Les musulmans ont le droit d’aller
voir le film mais je ne le conseille pas », a-t-il ajouté, interrogé
par l’AFP. Le Conseil des oulémas ne projette pas de réclamer officiellement la censure du film, a précisé M. Tambunan.
La presse précisait jeudi que les responsables musulmans se montrent
prudents pour éviter toutes polémiques, qui indirectement ferait de la
publicité au film. En septembre ils avaient protesté contre la venue d’une star japonaise porno en Indonésie, pour les besoins d’un film. L’Indonésie est le plus grand pays musulman du monde. Il a adopté
depuis peu, une loi imposant des contrôles plus stricts sur le contenu
des films, notamment pour la violence et le sexe.
Cette loi n’est pas bien ressentie par tout le monde.
En Angleterre, un fermier avait construit un château où il vivait
depuis quatre ans dissimulé des regards par des balles de foin.
Mercredi un tribunal londonien lui a ordonné de détruire sa propriété bâtie sans permis de construire. A Redhill, dans le Surrey (sud de Londres), ce fermier a mis deux
ans pour construire la demeure de ses rêves, qu’il a intégré avec sa
femme et son fils de 8 ans en 2002.
Seul problème, Robert Fidler, 60 ans, n’avait pas reçu de permis de construire. M. Fidler espérait bénéficier d’une lacune du droit qui permet à
certaines conditions à des résidents de légaliser leur propriété si
elle a été construite il y a plus de quatre ans, et que les autorités
locales ne s’en sont pas rendu compte. Le château était caché par des balles de foin qu’il a fait enlever
en 2006, estimant que le délai de quatre ans était passé et que sa
demeure ne pouvait pas être dénoncée par les autorités locales. Mais le juge Thayne Forbes de la Haute cour de Londres, n’a pas vu
les choses d’un même œil et a tranché après plusieurs années de dispute
entre le fermier et les autorités locales.
Le juge a reconnu valable l’argumentation de l’administration locale
qui a estimé que le retrait des balles de foin était une étape à part
entière de la construction, faisant reculer la date de fin de la
construction à 2006. Le fermier compte faire appel selon son avocat Pritpal Singh Swarn.
« M. Fidler est évidemment déçu et devrait très certainement faire
appel, compte tenu du fait que ce qu’il risque de perdre est la maison
qu’il a construite », a souligné M. Swarn.
Placé en garde à vue le 26 janvier dernier, un homme de 26 ans avait
réussi à usurper la fonction de chauffeur de bus de la RATP et réussi à
en conduire un brièvement. Cette usurpation remonte au 31 décembre vers 7h30, alors qu’il se
présente en tenue de la RATP au machiniste d’un bus de la ligne 576,
prétextant effectuer son apprentissage de parcours.
Le persuadant, il avait réussi à prendre le volant du bus sur une
petite distance, car le chauffeur en titre s’était aperçu très vite de
ses lacunes au niveau de la conduite. Mais il ne s’est pas contenté d’un seul essai, le 4 janvier, il
tente à nouveau auprès d’un autre conducteur, mais en vain, sa tenue
négligée a intrigué celui-ci. Au terme d’une enquête interne de la Régie autonome des Transports
parisiens (RATP), qui fait ressortir qu’il s’agissait d’un usurpateur,
la régie avait déposé une plainte auprès de la sous-direction régionale
de la police des transports qui était parvenue à identifier le faux
conducteur, non titulaire du permis de conduire, déjà connu des
services de police pour des faits similaires. Les services de police l’ont convoqué le 26 janvier, il s’était présenté avec un blouson de la RATP et placé en garde à vue.
Les policiers ont retrouvé sur lui, un guide interne de l’entreprise de transport et un passe de la société. Une tenue complète de chauffeur a été retrouvée lors d’une
perquisition à son domicile. Les raisons de ce comportement selon lui,
sont sa passion pour le métier de conducteur de bus.
Il sera jugé le 18 mars 2010 devant le tribunal de grande instance de Paris.
Dans les environs de Lille et d‘Arras, mardi dans la soirée, une forte détonation a été entendue. Ressemblant à une explosion, elle a provoqué un peu d’affolement parmi les habitants. « Une forte détonation ressemblant à une explosion a retenti dans le ciel du Nord hier soir vers 22h30. Elle a été très distinctement entendue à Lille et même jusqu’à Arras », a expliqué le Centre opérationnel département incendie secours (Codis) du Nord. « Suite à cela, on a reçu énormément d’appels de la part de gens, un peu affolés, qui nous demandaient d’aller voir. Mais après nous être rendus sur place, et avoir cherché d’où pouvait venir ce bruit, nous n’avons rien trouvé. Pas de flamme, pas d’incendie, rien », a-t-il ajouté. « Nous n’avons pas d’explication. L’hypothèse que l’on peut privilégier, c’est que le bruit soit dû à un avion militaire qui aurait franchi le mur du son lors d’un exercice. Si l’avion volait à basse altitude, cela pourrait être compatible avec le bruit d’explosion. Mais dans le fond, pour l’instant, nous n’en savons pas beaucoup plus », ont conclu les secours.