Pour marquer le 67ème anniversaire de la victoire de la bataille de
Stalingrad au cours de la Deuxième guerre mondiale, un soda va être mis
en vente en Russie, à l’effigie de l’ancien dictateur Joseph Staline. C’est l’usine Pivovar de Volgograd (ancienne Stalingrad) qui
fabriquera une quantité limitée de cette boisson avec l’image du Petit
père des peuples.
Deux autres sodas seront également produits à l’effigie d’officiers de l’Armée rouge. Boris Izgarchev, le directeur de l’usine a déclaré au quotidien
Komsomolskaïa Pravda, qu’il ne voyait « rien de mal à cela », évidement
Staline est décrit par des historiens comme un tyran responsable de la
mort de millions d’innocents. « Les trois commandants militaires (dont le visage apparaîtra sur
les bouteilles, ndlr) sont des figures historiques et leur nom est
étroitement lié à Volgograd », a affirmé M. Izgarchev.
« Je pense qu’il y aura de la demande pour cette boisson gazeuse », a-t-il ajouté. Sur la bouteille, Staline apparait sur une photo en noir et blanc en forme de médaillon, entouré d’une étiquette rouge.
Dans un lycée technique près de Barcelone, un élève a créé la panique en se déguisant en Rambo, avec des armes en plastique, pour « faire une blague ». L’agence Europa Press a expliqué qu’Ivan 22 ans, est rentré dans son établissement d’Igualada, déguisé en militaire. Il était muni d’un faux fusil et d’un faux pistolet, pour « faire une blague à ses camarades et à ses professeurs ». Mais cette blague a été mal perçue et des policiers en gilet pare-balle ont débarqué dans l’école pour l’arrêter et l’emmener au commissariat. « C’était très dangereux en raison de tout ce qui s’est passé dans d’autres pays », a reconnu Ivan, vu la multiplication des tueries par des élèves armés dans des écoles. Un représentant de l’établissement a déclaré avoir exclu Ivan pendant deux semaines pour « blague de mauvais goût », malgré qu’il s’agisse d’un élève »pacifique et sans problème ».
Dans la ville de Larnaca à Chypre, la police a arrêté un conducteur flashé à 110 km/h deux jours plus tôt au centre ville.
Les policiers ont été étonnés en découvrant le chauffard qui était âgé de 12 ans. Le quotidien Politis explique que dimanche vers 01H00 du matin, le
conducteur avait été repéré par des policiers en train de rouler à 110
km/h, soit plus du double de la vitesse autorisée (50 km/h). Le chauffard avait pris le rond point à contre sens pour ne pas se
faire arrêter, en évitant de peu d’écraser une policière et de
provoquer un accident. C’est sa mère qui a été convoquée au commissariat, la propriétaire du véhicule.
Elle a expliqué que l’enfant avait pris sa voiture sans sa permission.
Elle est responsable en cas de délit routier d’un enfant mineur, sera
poursuivie et risque une amende.