Dans la nuit de mardi à mercredi, le chauffeur d’un corbillard et
son collègue, ont été interpellé en état d’ébriété, place de la
Concorde à Paris, information de source policière. Alors que la neige tombait sur Paris, mercredi après 02h00, des
policiers ont repéré un véhicule roulant à vive allure, malgré la
neige. De plus, le véhicule a grillé un feu rouge rue de Rivoli.
En l’interpellant place de la Concorde, les policiers ont découvert
qu’il s’agissait d’un corbillard avec un cercueil à l’intérieur. Les deux hommes avaient transporté le corps depuis le sud de la
France pour une inhumation prévue mercredi au cimetière parisien du
Père-Lachaise.
Les policiers ont pris en charge le corbillard pour le conduire à
l’Institut médico-légal, place Mazas (XIIe), alors que les deux
employés ont été placés en garde à vue au commissariat du VIIIème
arrondissement. Mercredi, le corps a repris le chemin du cimetière du Père Lachaise où il a été inhumé, après un voyage mouvementé.
Un homme a été condamné par un tribunal du Malawi, pour s’être fait
passer pour un prêtre et avoir organisé une messe dans le but de voler
l’argent de la quête. Le porte parole de la police a expliqué qu’Emmanuel Robert, 26 ans,
vêtu d’une soutane, était arrivé dans un village du district de Dowa
(centre).
Il prétendait avoir été envoyé par les autorités de l’Eglise catholique pour seconder le curé de la paroisse. Mais les fidèles ont été méfiants, quand à la fin de la messe, il
leur avait demandé d’augmenter leurs dons pour financer un voyage du
chœur de l’église. Le « vrai » curé avait parlé des plaintes de ses fidèles à la police, qui a découvert la supercherie.
Mais les 50 dollars de la quête n’ont pas été retrouvés, cette somme
est conséquente au Malawi, où la moitié de la population vit avec moins
d’un dollar par jour.
Emmanuel Robert a reçu « une lourde peine parce qu’il a porté atteinte à l’image de l’Eglise catholique », trois ans de prison.
A Moscou, une société russe chargée de la vidéosurveillance de lieux
publics de la ville, a rarement permis à la police d’interpeller des
suspects.
Les images présentées étaient fictives et plus de la moitié des caméras ne fonctionnaient pas. Certaines images présentées par la société Stroïmontageservice
n’avaient pas de rapport avec les lieux publics et entrées d’immeubles
où les caméras étaient installées.
C’est les conclusions des enquêteurs qui ont réalisé une vérification du système. D’autres images avaient été enregistrées antérieurement à la date mentionnée.
Plus de la moitié des caméras de surveillance en place pour soi disant aider la police, ne fonctionnaient pas.
Dmitri Koudriavtsev, le dirigeant de la société de vidéosurveillance a
été interpellé et le montant de l’escroquerie est estimé estimé à 30
millions de roubles (environ 700.000 euros), selon les enquêteurs. En 2009, Stroïmontageservice avait remporté un appel d’offres d’un
montant de plus de 80 millions de roubles (1,86 million d’euros) pour
assurer la vidéosurveillance des districts nord-est et ouest de Moscou.
80 000 caméras sont déployées dans la capitale russe dans des lieux publics et entrées d’immeubles.
Plusieurs sociétés se partagent le marché de 2,7 milliards de roubles soit 63 millions d’euros.
Les voix du seigneur sont impénétrables mais elles gênent… En Italie, un prêtre transmettait ses messes sur une fréquence radio
pour les paroissiens qui ne pouvaient pas se déplacer à l’église.
Mais cette fréquence interférait les ondes utilisées par les avions de l’aéroport de Trévise.
Pour cette raison, la police a du mettre fin à ces transmissions. C’était un moyen pour les gens qui ne pouvaient assister à la messe,
de la suivre de chez eux, dans le village d’Assolo dans la province de
Trévise.
Une antenne sur le clocher, un micro sur l’autel et des récepteurs chez
les paroissiens, ce système comme une véritable radio FM, avait été
installé dans les années 80 à l’époque des radios libres. Il transmettait sur une fréquence voisine des 108 mégahertz, proches
de celle utilisés par les pilotes. Alertés par ceux-ci, les policiers
ont découvert le pot aux roses. Selon La Repubblica, 160 communes italiennes disposent d’un système
équivalent, qui a le grand avantage de ne pas nécessiter de licence
étatique.
Mis au point par une société milanaise, il se compose d’un transmetteur
basse puissance (entre 8 et 10.000 euros) et d’un récepteur bloqué sur
la fréquence idoine chez les paroissiens intéressés (60 euros/pièce).Toujours est-il que le curé , Don Giacomo Lorenzon, devra s’expliquer devant un juge, malgré sa bonne foi.