Les passagers d’un vol qui partait d’un aéroport de la banlieue de New York, ont eu une grosse frayeur.
Un amoureux a pénétré illégalement dans la zone sécurisée pour
embrasser sa compagne, déclenchant ainsi une alerte dans l’aéroport. Ce sont les passagers de Newark International, qui ont donné
l’alerte, voyant qu’un homme se glissait sous les cordons qui
délimitent la zone sécurisée, pour aller rejoindre sa moitié pour lui
donner un baiser d’adieux, sans être inquiété par les agents de
sécurité.
Selon les autorités, l’homme aurait même accompagné sa compagne jusqu’à la porte d’embarquement. Cet incident s’est produit dimanche, alors que mardi, un aéroport
local de Californie a été fermé car les services de sécurité ont cru
déceler des substances dangereuses dans les bagages d’un passager.
Il s’agissait en fait de pots de miel qu’un agriculteur transportait. Des mesures renforcées ont été mises en place aux Etats Unis dans
les aéroports, suite à l’attentat manqué survenu le jour de Noël sur le
vol Amsterdam-Detroit.
Une vente aux enchères aura lieu à New York, le 22 janvier organisée
par la maison d’enchères Christie’s, pendant laquelle seront vendues
des reliques macabres de la société secrète « Skull and Bones » de
l’université de Yale dans le Connecticut.
George W. Bush fût un des membres célèbre de cette société. Un crâne humain et de deux grands os (« skull and bones », en
anglais), seront mis en vente et devraient atteindre entre 10.000 et
20.000 dollars, selon les estimations de la maison d’enchères
Christie’s. Christie’s indique que le crâne était utilisé comme urne, il
présente en effet une fente à son sommet et que le mot « THOR » est
inscrit en majuscules sur l’un des ossements.
Dans ce lot, on pourra trouver également un livre noir mentionnant la
liste des membres de la société secrète entre 1831 et 1877. « L’urne et les documents constituent un rare aperçu d’une
organisation dont la liste des membres est devenue un secret
jalousement gardé », souligne Christie’s. Parmi ses membres, que l’on surnomme « Bonesmen », ont figuré les
deux anciens présidents George W. Bush et George Bush père, ainsi que
le sénateur démocrate et ancien candidat à la présidentielle John Kerry
et de nombreux hommes d’affaires éminents, comme H. J. Heinz II,
l’ancien PDG de la célèbre marque de ketchup. La société a été fondée à Yale en 1832, et avait la réputation de pratiquer des rites d’initiation étranges.
Jusqu’en 1990, les femmes n’étaient pas admises.
Dans la ville de Canton en Chine, les habitants de logements
subventionnés pourraient se faire expulser de leur appartement pour
avoir trop craché, si un permis à points actuellement à l’étude voit le
jour. Un projet est à l’étude et les autorités locales sondent la population de la métropole du grand Sud chinois.
Ce projet a pour but « d’édifier un environnement communautaire
civilisé, hygiénique, sûr et harmonieux », a expliqué le Bureau des
ressources foncières et de la gestion de la ville sur son site internet. Un Cantonais qui crachera en public, installera illégalement des
potagers, garera sa voiture dans des endroits non autorisés ou fera
sécher son linge sur des barrières dans cette ville de près de 13
millions d’habitants, perdra trois points. Un nombre supérieur de point sera enlevé si les entorses sont plus
graves, comme posséder des produits « inflammables, explosifs, toxiques
ou radioactifs ».
Au final, si les habitants de Canton ayant perdu plus de 20 points en deux ans, seraient expulsé de leur logement.
Lors d’une cérémonie organisée dans une église du quartier financier
de la capitale britannique, des employés de la City de Londres ont pu
faire bénir leur téléphone portable. Dans cette église St. Lawrence Jewry, le service spécial qui date de
1136, a été suivi par environ 80 personnes. Elles ont toutes brandi
leurs téléphones pendant la bénédiction, explique le prêtre anglican
David Parrott. Cette idée de bénédiction vient d’une ancienne tradition chrétienne
qui voulait que des travailleurs amènent leur outil de travail pour le
faire bénir le premier lundi après Noël.
« Nous avons décidé d’organiser ce service en l’adaptant à notre temps,
j’ai prié pour les gens qui utilisent les nouvelles technologies et
ceux qui les font fonctionner », a expliqué le prêtre.« Pendant que je priais dieu pour qu’il bénisse ces outils
technologiques, (l’assistance) tenait les téléphones en l’air », a
indiqué David Parrott.
Il précise que les personnes avaient pu exceptionnellement garder leur
téléphone portable allumé (mode silencieux) pendant le service, en
raison de la nature de la cérémonie.
Un talon aiguille dans la tête, cela peut faire très mal.
Un étudiante canadienne Tammy Hinchey, de 27 ans a été attaquée en
septembre 2008 en Australie à Brisbane, à la sortie d’un bar, par deux
autres femmes, raconte le Courier Mail. Dans un état d’ébriété avancée, les deux Australiennes ont martelé
la jeune femme de coups de talons aiguilles sur la tête et sur les
mains. Aucun mobile n’ a pu justifier cette acte de violence et l’une des
Australienne a plaidé coupable. Quant à la seconde, elle n’a jamais été
retrouvée par la police.
Le quotidien du Queensland, rapporte que l’étudiante canadienne est retournée dans son pays depuis.
Tammy Hinchey s’en est sortie avec une coupure à la tête et une main cassée qui la ferait toujours souffrir.
Cette histoire est vraiment macabre !
Après avoir reçu un sac contenant les effets personnels de leur
grand-mère défunte et son cerveau, une famille du Nouveau Mexique a
engagé des poursuites. Le Albuquerque Journal explique que la découverte a eu lieu après
que les membres de la famille aient senti une « odeur fétide »
provenant du sac.
Ce sac avait été envoyé par la société de pompes funèbres et de crémation DeVargas. Toujours selon le journal, le sac a séjourné pendant une nuit dans la voiture de l’un des membres de la famille.
Dans ce sac, ormis les effets personnels de la défunte, il y avait un
autre sac avec une étiquette au nom de la grand-mère, sur laquelle
était écrit « cerveau ». « Vous ne trouvez pas que c’est une erreur terrible? Personne ne
devrait être obligé de retrouver un cerveau dans les affaires d’une
proche », a déclaré l’avocat de la famille.
Depuis le cerveau a été incinéré avec le corps de la défunte, morte dans un accident de voiture. Johnny DeVargas, propriétaire de la société de pompes funèbres, a
rejeté toute responsabilité. Il a accusé une autre entreprise, dans
l’Utah.
« Nous nous sommes parfaitement occupés de la famille et ils étaient très satisfaits de nos services », a-t-il affirmé.