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Pour éviter la pratique de la controversée de la dissection, des
chercheurs japonais ont créé un « poisson rouge » translucide dont les
organes sont visibles de l’extérieur.
Une grenouille transparente a déjà été développée il y a deux ans. « Vous pouvez voir son cœur qui bat et ses autres organes, ses
écailles et sa peau n’ayant pas de pigment », a expliqué Yutaka Tamaru,
professeur de biologie à l’Université de Mie (centre-ouest). Avec son équipe, ils ont pratiqué une série de croisement entre
poissons rouges mutants à la peau clair qui a abouti à un animal dont
on peut voir les organes sans le disséquer. « Vous pouvez apercevoir son petit cerveau au-dessus de ses yeux »
alors que le poisson nage tranquillement dans son aquarium, a précisé
M. Tamaru.
En 2007, une autre équipe avait mis au point une grenouille transparente qui vient d’être commercialiser. « Nous avançons dans le processus de production de masse. Nous
devrions pouvoir dès l’an prochain mettre sur le marché » ces animaux,
a déclaré Masayuki Sumida, professeur à l’Institut de biologie des
amphibiens de l’Université de Hiroshima (ouest). Ces animaux pourront être achetés par des laboratoires, des écoles.
Des particuliers pourront également les acquérir pour 10 000 yens (75
euros).
M. Sumida envisage aussi de vendre ses grenouilles à l’étranger. Les chercheurs de son équipe sont parvenus à créer ce batracien
transparent par manipulations génétiques, à partir de rares spécimens
albinos de grenouilles brunes japonaises (Rena japonica) qui sont
normalement de couleur ocre.
Le propriétaire du restaurant de la City de Londres, a demandé à ces
clients ayant commandé du Christmas pudding en dessert, de signer une
décharge par laquelle ils acceptent de ne pas poursuivre
l’établissement en cas d’incident. Neleen Strauss explique que cette décharge portait sur le risque
d’asphyxie ou de dégâts dentaires que représentent les fèves en argent
glissées dans certains gâteaux. Le document qui sera signé par les personnes commandant ce gâteau
traditionnel de Noël en Grande-Bretagne, stipule : « Je décharge High
Timber de toute responsabilité si je devais subir des dommages y
compris, mais sans que la liste soit exhaustive, une dent ébréchée, ou
toute autre blessure pouvant résulter d’une ingurgitation ». La femme de Neleen Strauss, explique que l’idée lui a été suggérée
par des avocats fréquentant régulièrement son établissement: « Nous
sommes installés dans la City et beaucoup de mes clients sont des
avocats et ils me l’ont suggéré. C’est un peu fou mais j’ai décidé de
suivre leur conseil ». « Ça a causé un peu de remue-ménage dans le restaurant et les gens
avaient du mal à y croire au début », a expliqué Mme Strauss. « Je
pensais que ça allait être casse-pieds mais j’ai décidé de couvrir mes
arrières ». Jeudi matin, aucun problème a été déploré au High Timber après la
consommation d’un Christmas pudding, vendu 7 livres (7,82 euros).
Une fève en argent coûtant entre 15 et 95 livres (entre 16,76 et 106 euros), est enfermée dans quatre gâteaux sur trente. " Ça s’est révélé être plutôt amusant », a confié Mme Strauss.
Une étude de la Rockefeller University, spécialisée dans la
recherche médicale et biologique, révèle qu’un nouveau cafard semble
avoir fait son apparition.Entre novembre 2008 et mars 2009, deux lycéens, sous la direction du
professeur Mark Stoeckle, généticien à la Rockefeller University, ont
cherché dans les rues de New York et dans leur appartement, pour
rassembler 217 échantillons les plus divers. Aliments de supermarché, restes d’insecte trouvés dans une boîte
d’ananas en conserve, un plumeau, du crottin séché, un cafard: tous ces
spécimens ont été ensuite envoyés au Musée d’Histoire naturelle de New
York, qui avait accepté de participer à cette recherche et de procéder
à des analyses d’ADN. Un nouveau cafard a été identifié par le laboratoire du Musée.
« Le code ADN diffère de 4% du code de la « Periplaneta americana » ou
« cafard américain », alors que la différence génétique entre insectes
d’une même catégorie ne dépasse pas 1% », a expliqué mercredi à l’AFP
Mark Stoeckle. « On peut donc suggérer qu’il s’agit d’un nouveau cafard », a-t-il
ajouté précisant que cette « découverte devrait intéresser des musées
d’histoire naturelle ». Et les New-Yorkais… Le laboratoire a aussi identifié 95 différentes espèces animales,
les chercheurs ont conclu que l’ADN reste identifiable dans des
aliments cuits ou séchés et ce même en quantités infime.
« Nous avons trouvé l’ADN de l’autruche dans le plumeau, les traces
génétiques d’un calamar ailé géant dans un apéritif asiatique, des
traces de bison dans des aliments pour chiens », écrivent-ils dans leur
rapport. Avec cette recherche, ils ont découvert une chose importante : « 16%
des produits alimentaires dans le commerce sont mal étiquetés, ce qui
peut être très dangereux, notamment en cas d’allergies ».
Les chercheurs ont ainsi découvert que du fromage de chèvre contenait
en fait du lait de vache, ou qu’une boite étiquetée « caviar
d’esturgeon » contenait les empreintes génétiques d’une « sorte de
seiche ».