EPREUVE 3
CANDIDAT 1
Cela fait un moment que je suis enfermé dans une pièce noire, je ne voyais rien
au début, mais mes yeux commencent à s’habituer à l’obscurité. J’aperçois les
contours d’une porte en bois, avec une petite ouverture fermée par un volet. On
dirait une prison.
Tout tourne dans ma tête, non pas que j’aie trop bu, quoique… cette soirée a
été bien arrosée et pour cause. Non, ce sont mes idées qui tournent en rond.
Qui a pu vouloir me kidnapper, et pourquoi ? Sûrement pour l’argent. Mais
pourtant, j’ai bien expliqué que je ne voulais pas garder cet argent pour moi,
mais le distribuer à ceux qui en ont besoin, alors pourquoi ? Des jaloux, des
rivaux ? Peut-être.
Je me remémore le moment où ils m’ont kidnappé. J’étais au pied de mon nid,
machinalement, j’ai jeté un coup d’œil dans la boite aux lettres, espérant
trouver peut-être une lettre d’une fan, peut-être même une lettre d’amour. Mais
rien et à ce moment, quelqu’un m’a saisi par derrière et on m’a mis un sac sur
la tête. Je ne sais pas qui c’est. Je n’ai rien vu et maintenant me voilà ici.
Que faire, comment m’échapper ? La pièce obscure est bien close avec cette
porte et aucune fenêtre. Et en plus, j’ai oublié mon couteau Suisse. Il n’y a
rien à faire qu’à attendre que des Nutsien se rendent compte de ma disparition
et viennent me secourir. Mais combien de temps ?
La porte s’ouvre soudain. Un kureuil avec un bandeau noir sur les yeux entre.
« Suivez-moi » me dit-il.
Je n’ai pas le choix, je dois le suivre. Est-ce le moment de fuir ? Mais par où
? Et avec les deux malabars qui sont derrière lui, ils vont me rattraper tout
de suite. J’aurais du plus travailler mon endurance pour le concours Mister
Nutsy.
Le trajet me semble interminable, où allons nous ? Je ne reconnais rien autour
de moi. Aucune fenêtre, que des couloirs éclairés par des torches. Ce doit être
un souterrain. Au bout du couloir, le kureuil masqué ouvre une porte qui
débouche sur une salle obscure. Il me dit d’entrer et referme la porte derrière
moi. Me voilà guère plus avancé. Pourquoi m’avoir changé de cellule ? Et cette
nouvelle pièce ne me laisse pas plus de chance de m’évader.
Et soudain, j’entends un bruit de terre qui tombe du plafond, comme si la salle
s’effondrait puis le bruit de quelque chose de lourd qui tombe et un cri. Cette
voix, je la connais, c’est Taupinette, mon amie la taupe.
« Ca va Taupinette ? » je dis « tu ne t’es pas fait mal ? ».
« Aie, je me suis fait mal, mais qui a eu l’idée de creuser des galeries sans
les déclarer au cadastre ? C’est interdit ? » Puis elle se ressaisit « Mais au
fait qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’es pas rentré chez toi après le concours ?
»
Je lui explique alors comment je me suis fait enlevé et comment je me suis
retrouvé enfermé ici. Elle prend peur, se disant que mes ravisseurs risquent de
revenir. Elle me propose donc de repartir par la galerie dont elle vient, il y
a une remontée à la surface vraiment pas loin. Par contre, il faut réussir à
atteindre le trou du plafond, heureusement, dans un coin de la pièce, on trouve
une pierre assez grande pour se hisser. Taupinette m’escorte jusqu’à mon nid et
nous avertissons les autorités Nutsiennes qu’il se passe quelque chose de
louche, dans des galeries non déclarée au cadastre. A eux maintenant
d’enquêter.
CANDIDAT 2
"Waow, quelle fête!! Tout Nutsy n'est pas prêt de l'oublier!! Ayé, je
suis MISTER!!"
Le kureuil rentre dans son nid et à l'approche, il sent une piqûre sur son
postérieur. Soudain, le regard se trouble, les forces l'abandonnent et ....
plus rien. Combien de temps passe? Une minute? Une heure? Plus? Aucune idée.
Le kureuil se réveille dnas un endroit non familier. Une pièce sobre, pas de
fenêtre, pas de meubles, pas de lumières . Juste une chaise sur laquelle il est
assis, pattes liées. Rien sur les yeux, ni baillon. Combien de temps reste-t-il
là comme ça? Il ne saurait le dire. Pas de bruit, rien, quel ennui!! Mais qui
peut bien lui en vouloir? Des jaloux? Sûrement. Le kureuil essaie de défaire
ses liens, crie à perdre haleine, mais sans succès. Désespérant. Si seulement
skouiky pouvait leur donner quelques coups de son déambulateur ou bjorgveldt
venir les asphixier de sa mauvaise odeur....
Soudain, une mauvaise odeur familière arrive à ses narines: bjorgveldt est là
(il reconnaitrait cette odeur entre 1000!!). Mais pourquoi? Jalousie? Oui, ça
ne peut être que ça.
La porte s'ouvre dans un fracas, bjorgveldt vient bander les yeux du kureuil,
lui détache les liens des pattes et l'emmène avec lui jusqu'au.... nid de son
bourreau!!!
Les yeux sont débandés et surprise.... Tout le monde l'attend pour LA méga fête
aux frais de bjorgveldt(en fait, un pari perdu par bjorgveldt l'obligeait à
payer les frais mais en compensation, il exigea cette mise en scène d'un goût
plus que douteux).
Notre kureuil décida de se venger en vidant chaque bouteille de bjordka.
CANDIDAT 3
Bonjour à tous :
Voilà le récit de ma terrible aventure que je ne révèle qu’à vous :
Le kureuil, tout content d'avoir raflé haut la main le titre de Mister Nutsy et
après avoir fait la fête toute la soirée avec ces amis pour, arroser son
nouveau statut,rentra chez lui fort tard et exténué. C’est avec délice qu'il
s'allongea sur son très confortable lit recouvert de draps de satin, quand
soudain ….
Quelques kureuils cagoulés essayèrent de le ceinturer, mais le kureuil se débattit
et para d’un geste gracieux l’attaque. Les agresseurs qui surpris par cette
parade, essayèrent de le mettre KO avec un uppercut, mais Mister Nutsy, qui a
de la cervelle en plus de son agilité, évita le coup de poing. Un des
agresseurs se faufila derrière lui et lui assena un coup sur la tête. Mister
Nutsy s'écroula sous la force du coup et tomba face contre terre .....
Les ravisseurs sortirent Mister Nutsy du sac dans lequel ils l’avaient enfermé.
Une bonne heure passa avant que le kidnappé ne se réveille. Celui-ci ouvrit les
yeux avec difficulté et avec un mal de crâne intense. La pièce dans laquelle il
se trouvait était sombre mais il reconnut l’endroit !!! NON... impossible!!!!
C’était le salon de son nid. Il en était sûr, même dans le noir il le
reconnaissait!!! Croyant à un cambriolage, le Kureuil encore un peu sonné, se
releva brutalement prêt à affronter ces malfrats aux gros bras. Mister Nutsy
qui d’un terrible coup de pied, mais toujours gracieux dans le geste envoya
rouler au tapis 2 adversaires à la fois; Quand soudain il fut ébloui...
quelqu’un venait d'allumer la lumière. Et là, surprise …
il entendit la voix d’un de ses meilleurs amis et il vit ensuite tous ses amis
les plus intimes chantaient à tue-tête :
Qui c’est le plus beau, qui c’est le plus fort, c’est le Kureuil " Mister
Nutsy 2007" !!!
Et là, il se mit à rire en voyant Minchouchou et Damien au sol !!!
Il remercia tous ses amis de cette surprise quelque peu farfelue et
surprenante. On lui expliqua que si ils avaient simulé ce kidnapping, c'était
pour voir comment se défendait le plus sublime de tous les kureuils. Et aussi
lui faire une petite plaisanterie et le mettre à l’épreuve.
Le kureuil fit la fête avec ses amis tout en riant de la superbe bosse qu'il
avait gagnait dans cette plaisanterie .Il n’oublia pas Damien et Minchouchou
bien sûr, et il leurs offrit un chocolat bien chaud et réconfortant. …
CANDIDAT 4
Je revenais vers chez moi tard vu que j’avais fêté mon titre de Mr Nutsy,
qui me sied à merveille d’ailleurs, je suis tellement beau !
Tout à coup, au détour d’un chemin, il fit plus noir. Certes il faisait nuit
donc noir, mais il me semblait qu’il faisait noir foncé, et plus chaud
également, enfin juste au niveau de la tête.
Le temps que je réalise qu’on m’avait mis un sac en toile sur la tête (quelle
idée de pouvoir en fabriquer ! voilà l’usage qu’on en fait !), je me sentais
soulevé par plusieurs papattes. J’entendais des chuchotements, quelques bribes
de mots par ci par là, je n’arrivais pas à mettre de noms sur les voix
étouffées en plus par l’épaisseur du sac.
Les sursauts que je ressentais en me faisant transporter m’empêchaient de
piquer un petit roupillon, et oui , tant qu’à faire, autant essayer de
récupérer des forces en dormant. Il ne manquait plus que l’un de mes ravisseurs
fassent tchou-tchou et je me serais vraiment cru dans un train de nuit.
D’autant qu’ils n’étaient pas spécialement doués : ils étaient 4 à me porter,
un pour chaque papatte et un pour chaque bras, et à un moment dans une légère
descente, le porteur de la papatte droite trébucha, me lâcha ; les autres,
surpris, firent de même, ce qui fait que j'ai descendu la pente tout seul, dans
le genre luge mais sur popotin et cailloux.
Mes ravisseurs courirent pour me récupérer et me porter à nouveau à bout de
bras.
Je ne pouvais m’empêcher de râler, maintenant que j’étais réveillé par la
douleur :
« Non seulement vous me kidnappez, mais en plus vous êtes doués comme des
manches ! J’ai mal au popotin ! Je veux aller dormir ! »
Je n’eus aucune réponse, j’avais beau me débattre, mes quatre membres étaient
fermement tenus.
Je me concentrais pour essayer de reconnaître mes agresseurs : une voix ?
impossible maintenant ils ne parlaient même plus ; des cheveux ? apparemment au
moins un de mes kidnappeurs en a, du style tresses, ça m’a chatouillé le bras
tout à l’heure ; une odeur ? même mauvaise ? ça sentait un peu le parfum, mais
difficile de bien sentir à travers mon sac.
Au bout d’un moment, j’entendis au loin un brouhaha, je me dis qu’on devait
être arrivé à destination et que j’allais enfin savoir à quelle sauce j’allais
être mangé.
Le bruit de crissement de graviers sous les papattes de mes kidnappeurs
s’arrêta, et le temps que je me dise qu’on devait être dans un nid, CHDONG !
Ils avaient oublié que l’entrée du nid était basse, donc une personne portée à
bout de bras se prend forcément le haut de la porte dans le museau.
Les voix autour de moi se turent un instant puis on m’aida à marcher jusque
vers un fauteuil, où je pus reposer mon popotin endolori. On m’enleva le sac de
la tête et là, je vis une foule d’écureuillettes en cercle autour du fauteuil,
avec appareil photo, feuilles et stylos pour avoir des autographes.
Balayant mon regard de tous les côtés, j’avais du mal à comprendre le pourquoi
du comment quand une écureuillette s’avança vers moi :
-« Bien le bonsoir Mr Nutsy, nous sommes vos plus ferventes admiratrices, nous
avons suivi de près les épreuves que vous avez passées avec succès et nous
avons donc créé un fan-club. Nous sommes désolées de vous avoir quelque peu
brusqué, mais nous voulions absolument vous voir dès ce soir ! »
S’en suivit des excuses pour mon popotin endolori (on m’amena une pommade à
base d’herbes) et pour ma bosse qui commençait à enfler (on m’amena une poche
de glace), ça me faisait un air plus viril, genre le mâle qui se fait mal mais
ne se plaint pas parce qu’il est fort !
Je passais donc une bonne partie de la nuit à poser pour des photos et à signer
des autographes, ce qui n’était pas pour me déplaire, la célébrité, y’a que ça
de vrai !
Tard dans la nuit, ou tôt le matin, je décidais de rentrer chez moi.
Mon fan-club – ça fait vraiment star de dire ça ! – me remercia chaleureusement
:
- On espère vous revoir bientôt !
- Bien sûr, mais la prochaine fois, envoyez-moi un carton d’invitation, ça sera
moins douloureux !
CANDIDAT 5
De retour d'une soirée bien arrosée, le museau
enfariné, la tête lourde et le pas nonchalant, je déambulais sur les chemins en
me hâtant. La nuit, je suis pris de visions, je vois des ombres surgir de toute
part, des bruits inexistants envahissent mes oreilles et l'angoisse me
paralyse.
Et ce soir là, l'abus de bjordka accroissait terriblement mes troubles
nocturnes.
Je sentais une présence constante aux alentours, les buissons paraissaient bien
agités, et des ricanements furtifs s'en échappaient.
Soudain je me sentis basculer en arrière, des pattes venues de nulle part me
ligotèrent et me baillonnèrent en un rien de temps. Je fus soulevé et
transporté rapidement, les changements de direction incessants me donnaient la
nausée, et les kidnappeurs étant souvent en contradiction sur le chemin à
prendre je me trouvais écartelé à chaque virage.
Une fois arrivés à destination, ils pénétrèrent dans un nid fort odorant et
m'attachèrent à une chaise.
La baillonnette laissait percevoir de vastes formes, je distinguais les tresses
d'une roussette au pelage foncé aidée de 3 ou 4 complices. Soudain on m'adressa
la parole pour la première fois: "nous détestons les bisounours et encore
plus ceux qui reçoivent des titres! C'est pourquoi tu vas nous donner le
pactole que tu as remporté".
Devant mon refus de céder mes noisettes, j'entendis après maints chuchotements:
"puisque tu t'entêtes à nous dire non, tu vas goûter aux 7 supplices
mesquins, ce qui te fera rapidement changer d'avis".
Des bruits étranges et des rires remplirent la pièce, puis le calvaire
commença:
"Commençons par lui infliger la tourmente des fourmis affamées". Ils
déversèrent un seau rempli de fourmis en folie sur mon si beau pelage, et les
insectes en manque de nourriture me piquèrent de partout. Des cris aigüs
s'échappaient de ma gorge nouée ce qui renforçait leur hilarité!
Ne cédant pas devant ces premières misères, ils passèrent au supplice suivant:
"le bain de museau pétillant".
Refusant d'ouvrir la bouche, ils m'enfoncèrent 1 savon ph fou, d'ailleurs mes
quenottes effleurèrent une patte qu'elles tentèrent en vain de croquer.
Ma salive devint effervescente, des bulles sortirent de mes narines, j'étais au
bord de l'étouffement. Je pris une longue inspiration et réussis à recracher le
liquide infect. J'entendis à nouveau marmonner, puis: " on passe à la
vitesse supérieur, faisons-lui subir les vents mauvais!".
Et en un rien de temps je me retrouvais avec 2 boules puantes dans les narines.
Je suffoquais de la putréfaction qui se dégageait, mes yeux semblaient doubler
de volume, j'étais au bord du malaise. Alors je finis par craquer de peur des
supplices à venir et leur criais que j'acceptais de coopérer.
Ils éclatèrent de rire, me traînèrent jusqu'à l'endroit que je leur avais
indiqué pour s'emparer de ma petite fortune gagnée et m'y laissèrent en
emportant le magot.
Au petit matin j'arrivais enfin à me délivrer de mes liens. Le poil terne et
grignoté par les fourmis, enrobé d'une odeur infecte et les yeux hagards, je
traînais ma honte au travers des sentiers en prenant garde de ne croiser
personne. Dans leur précipitation, mes assaillants avaient oublié de voler ma
couronne, précieux souvenir du concours.
Placée sur ma tête me donnant un semblant de réconfort, je regagnais mon nid
décidé à rester à l'écart le temps de retrouver une apparence correcte.
Le lendemain, en parcourant la
Gazette des villages, je tombais sur un avis de vol de la
couronne du Mister, un vagabond au physique repoussant ayant été aperçu sur les
chemins en sa possession.
C'était décidé, j'allais vivre comme un hermite jusqu'à ma guérison totale, me
jurant de ne plus succomber à la notoriété!
CANDIDAT 6
POUPEE voit Nutsou arriver trempé en courrant. « Mais que t’es-t’il arrivé
Nustou, ça fait deux jour que tu as disparu ?? Tu me croira jamais Poupée »
Nutsou reprend son souffle, s’assoit et commence son récit.
La fête de mon couronnement de Mister nutsy venait de s’achever. Tout le monde
été parti car il était déjà tard. J’attendais dans la nuit, sous la pleine lune
la limousine qui devait me ramener chez moi. (Les privilèges du titre). J’étais
seul et faisait les cents pas énerve pas son retard… 10 minutes, 20 minutes,
1heure. Lassais et commençant a avoir froid, je décidait de rentrer chez moi a
pied, il était déjà plus de minuit.
Apres une longue marche, j’arrivait au quartier du lac de mon village. La lune
était grosse et éclairait le lac comme en plain jour par sa lumière douce et
blanche. Je m’approchais du bord quand soudain je sentis un coup de matraque
sur la nuque….
Plus tard dans une demie conscience j’entendais le clapotis des flots sur une
embarcation, mes poignets me brûlaient, j’étais solidement ligotait. Les yeux
bandais, je ne voyais pas la personne qui me transportait, a par son parfum bon
marché qui m’agressait les narines. La barque s’immobilisa soudainement. Je
sentais qu’on me soulevait. Ce fut la morsure glacé de l’eau qui me refit
sombrée dans l’inconscience tendis que je coulait au fond des eaux vers une
mort certaine…..
Ce fut sûrement après un sommeil récupérateur, que je me réveillais dans une
chambre des plus somptueuse. Mais le plus étonnant c’était que je respirais
sous l’eau !! Ou étais-je ??? Mais avant de finir ma réflexion, la porte s’ouvrir
et je vis entrer la plus belle et enchanteresse des créatures, une sirène
nutsienne ! Elle s’approcha de moi et : « Bienvenue au royaume des Eaux Calmes
Mister Nutsy, je suis la princesse Perle de Nacre. Tu as été amener ici pour
respecter la tradition et devenir mon époux » a ce mot ce fut la panique je ne
voulais pas vivre sous l’eau a jamais et en plus épouser une kureullette mi
poisson…. « Pas question je refuse d’abandonner ma vie sur terre » et surtout
tout les nid que je n’avais pas encore visité avec ma guitare, j’aimais trop ma
liberté…. « Tu n’as pas le choix, mais la reine t’expliquera viens avec moi. »
Je fus conduit dans une grande salle décorée d’or de perle et de corail… Un
hippocampe trompette trompetta, tous les gardes s’inclinèrent et un étrange
attelage de crustacés rutilants entra. L’hyppo-trompette annonça son altesse
royale la reine Anémone de Cristal. Elle était la digne mère de la princesse
par sa beauté et sa présence imposante. Elle me raconta qu’a toute les
génération un kureuil de nutsy était choisit pour devenir le prince du royaume
des Eaux Calmes et les protéger. Comme j’avais été élu Mister nutsy j’étais
tout désigné pour ça. Même si je refuser il n’y avait rien a faire car les
sirènes pouvait m’envoûter par leur chant et me rendre docile comme un agneau…
J’ai passé au moins un jour en captivité en ruminant mon triste sort,
prisonnier de moi-même. Soudain les murs tremblèrent et la princesse arriva
effrayée en hurlant qu’il fallait se mettre a l’abri du Tenkou d’argent avant
qu’il ne soit trop tard. On me compta alors l’horrible histoire de ce monstre
marin qui terrorisait le peuple des Eaux Calmes et venait a bout de tous les
princes Nutsien en les devrant lors de ses attaques, car l’un d’eux doit le
terrasser. Les sirènes et leurs chants étaient impuissants contre lui, c’était
la raison de tous ces enlèvements mystérieux depuis longtemps. Je vis ma chance
pour enfin recouvrer ma liberté….
J’ai saisie ma guitare, suis monté sur la plus haute tour du palais. Je me suis
a mis a chanter l’une de mes balades romantiques et la le monstre fut envoûté
et devint docile comme un agneau. Pour me remercier la reine et la princesse me
rendirent ma liberté et promirent de ne plus retenir de kureuils contre leur
volonté. J’offrit ma guitare a la princesse et me donna son collier de perle en
remerciements. On me reconduit a la surface et je parti a la recherche de mon
véritable kidnappeur ! Car ce n’était pas les sirènes qui m’on enlever, mais le
kureuil a l’eau de toilette puante que j’ai reconnue et ça va être sa fête a ce
faux frère jaloux de moi qui pensait se débarrasser de moi !!! je te
raconterait tous les détails plus tard , viens me voir dans mon nid…..
Bravo à tous ! En tout cas j'èspère que Chti Minou a rendu son épreuve .