Le réseau de socialisation Facebook a annoncé que les comptes d’utilisateurs du site peuvent rester actif après leur mort, pour que leurs proches puissent leur rendre hommage. « Quand quelqu’un nous quitte, son souvenir reste dans notre réseau social », a indiqué un responsable de la sécurité de Facebook, Max Kelly, dans un message publié lundi. Les amis confirmés ou les membres de la famille, seront les seuls à pouvoir accéder aux comptes des personnes décédées. Aucune modification ne pourra être réalisée sur les comptes mais les utilisateurs peuvent y publier des messages à la mémoire des défunts. La transformation d’un compte en « mémorial », peut être demandée par les proches de la personne décédée, à condition de fournir la preuve de la mort, comme une copie d’un certificat de décès ou un article de presse.
A Angoulins (purée c'est à 10 km de chez moua :o) dans les Charentes Maritimes (on dit pas "les" crétin!!!!), un sexagénaire a été arrêté, il est soupçonné d’avoir abusé de ses conquêtes féminines pour les dépouiller de leur porte-monnaie et de leur voiture. « C’est un séducteur à la petite semaine, qui abusait de la crédulité des femmes qu’il rencontrait en leur empruntant de l’argent ou leur véhicule, qu’il oubliait ensuite de leur restituer », a expliqué le procureur de la République de La Rochelle, Jean-Luc Lennon. Alors qu’il sortait d’un hôtel d’Angoulins, l’homme a été interpellé au moment où il allait monter dans un véhicule qu’il avait volé à une conquête à Blois. Selon le procureur, l’homme est un sexagénaire plutôt « désocialisé », et le qualifie de « personnage totalement pathétique ». Selon le quotidien Sud Ouest, qui a révélé l’affaire, « cet ancien militaire sillonnait ainsi depuis quelques années la France » en « expliquant à ses futures victimes qu’il était nouveau dans la ville et que sa voiture était au garage ». L’homme a été entendu et remis en liberté. Il sera convoqué devant le tribunal correctionnel de La Rochelle en début d’année pour y répondre d’abus de confiance.
Après une plainte de la mairie, une Normande a été auditionnée par les gendarmes de Pont Audemer « comme une délinquante » : elle avait mis en vente des tickets de cantine sur Internet. « Elle a été interrogée selon les méthodes appliquées aux grands délinquants, avec questions en boucle et menaces de garde à vue », a raconté Philippe, son compagnon. Il précise que les 125 tickets mis en vente correspondaient à trois mois de cantine pour les deux enfants du couple, qui finalement déjeunaient chez eux. « Les gendarmes ont cru qu’on les imprimait nous-mêmes », ajoute Philippe, qui évoque « l’état de choc » de sa compagne après son interrogatoire le 22 octobre, de 9H00 à midi. « La mairie refuse de nous reprendre ces tickets, d’où notre démarche », résume-t-il. La mairie de Pont Audemer explique explique qu’un ticket de cantine constitue une « prestation sociale » et ne peut, de ce fait, être revendu. « Il est anormal de revendre des tickets. On devait s’assurer qu’il n’y a avait pas fraude. C’est pas la personne que l’on visait mais la méthode », a indiqué Vincent Roussel, adjoint au maire et vice-président de la caisse des écoles. Les tickets étaient en vente sur le site Leboncoin et on pouvait lire : « Vous ferez une économie pour toute l’année scolaire ou même pour l’année prochaine ». Le couple avait acheté les tickets 2,60 euros et les vendait 1,44 euros.