C’est très simple de s’évader, il suffit de demander la sortie !
A New York, un détenu comparaissait devant un tribunal pour une série de petits délits est sorti du tribunal sans être inquiété. Vêtu d’un costume, l’homme est entré dans la salle d’audience et a
tout simplement demandé à un huissier : « où est la sortie ? ».
L’huissier l’a pris pour un avocat et l’a conduit vers le hall d’entrée
où le détenu a quitté le tribunal pour rejoindre sa mère. La femme, âgée de 81 ans, a expliqué au quotidien qu’il s’était
changé et était reparti. « J’ai cru qu’il avait été libéré, parce qu’il
était si bien habillé », a-t-elle précisé au Post.
Selon une étude de chercheurs de l’université de Cardiff (pays de
Galles), les enfants mangeant des sucreries tous les jours sont plus
susceptibles de devenir des adultes violents. C’est la première étude à examiner les effets de l’alimentation des enfants sur la violence à l’âge adulte.
L’analyse portant sur plus de 17.415 Britanniques nés en 1970, qui
participent à une étude interdisciplinaire à long terme, a conclu que
les enfants de 10 ans qui mangeaient des sucreries de façon quotidienne
ont un taux de condamnation pour violences plus élevé entre 29 et 34
ans. L’observation des scientifiques a mis en avant que les personnes
dans cette tranche d’âge, 69% avaient mangé des sucreries et des
chocolats presque tous les jours dans l’enfance.
Chez les adultes non violents, seulement 42% avaient reçu une dose quotidienne de sucreries. « Notre meilleure explication est que donner aux enfants des
sucreries et des chocolats régulièrement pourrait les empêcher
d’apprendre à patienter avant d’obtenir ce qu’ils veulent » et les
pousser « à un comportement impulsif, étroitement associé à la
délinquance », a indiqué Simon Moore, responsable de l’équipe
scientifique. « Accorder plus de ressources pour l’amélioration de l’alimentation
des enfants pourrait avoir un effet bénéfique sur leur santé et réduire
l’agressivité », conclut l’étude. Ces conclusions ne satisfont pas tout le monde.
Julian Hunt, responsable de la communication de la Fédération
britannique des industries alimentaires et des boissons (FDF), estime
qu’il s’agit « soit d’absurdités complètes soit d’un très mauvais
poisson d’avril ». « Les comportements antisociaux sont issus de facteurs sociaux très
profonds et de l’environnement, comme une éducation déficiente, un
manque d’autorité parentale, et ne sont pas lié au fait de manger ou
non des bonbons dans l’enfance », a-t-il protesté
Les ingénieurs de chez Nissan sont entrain de mettre au point la technologie anticollision du futur.
Pour cette mise au point, ils essayent de comprendre comment les
poissons font pour voyager par bancs entiers sans jamais se percuter. Ils se sont penchés sur la capacité de certaines espèces de poissons
à nager groupés par centaines sans accident, en modifiant brusquement
la forme du banc lorsque la situation l’exige. Il en est ressorti un petit robot qui peut se déplacer au sein d’un
groupe de sept de ses semblables sans les heurter grâce aux échanges
d’informations. Le prototype utilise des lasers pour évaluer les distances avec les
autres robots, qui communiquent entre eux par ondes radios. Ils
parviennent à reproduire le comportement d’un thon ou d’un maquereau au
sein d’un banc dans l’océan. « Dans notre monde motorisé, nous avons beaucoup à apprendre du
comportement d’un groupe de poissons, notamment pour ce qui est du
degré de liberté et de sécurité de chaque spécimen », a expliqué
Toshiyuki Ando, le principal ingénieur chargé du projet. Cette technologie doit être présentée au salon de l’électronique Ceatec à Tokyo.
Nissan espère que ce système pourra s’appliquer, aux systèmes anticollision des voitures, dans quelques années. Le constructeur automobile a déjà puisé son inspiration dans le monde animal pour ses recherches sur la sécurité routière.
L’an dernier, Nissan avait présenté une « micro-voiture » dotée d’un
dispositif inspiré de l’œil du bourdon, un organe hautement complexe et
doté d’une vision à 300 degrés qui évite aux insectes de se percuter
entre eux en plein ciel.