Oui Marronne, c'est ça, pince moi. Pince moi car là je crois vivre un vrai cauchemar.
Mélèze s'est laissé pousser des ailes. Et cette vision m'est insupportable. Je ne suis même pas triste, non : je suis la tristesse faite cureuillette. La voilà devenue un ange. Normal quand on a ouvert aux autres les portes du paradis. Mais quelle tristesse pour les ami(e)s qui restent.
Va bel ange, prends ton envol et attends nous là haut. Nous viendrons tous te rejoindre un jour, pour une super-fiesta entre amis.