gilbert
Titre :
Maître des cîmes
Pas encore installé
Âge :
19 an, 9 mois, 16 jours
Voilà les textes des candidates au concours pour cette 2ème épreuve et prêts à être lus par nos très chers juges!
gabinette villageoise Saint Amour des Noisettes
C'est une belle journée d'été. Je suis arrivé avec Sneezer et sont tracteur. Le voyage été long.Dés que je suis arrivé j ai vu le gilbert café qui disait "qui veut bojordka,pas cher! Pas cher! J'était trop fatiguer pour monter au sommet admirer le paysage. Alors je suis aller rejoindre Dam qui m'a passer les clef de ma suite. Je suis arrivé dans ma chambre et il y avait tout le monde et plein de cadeaux. Devinez ce qu'il m'ont offert ? Des damettes, un lot de bjordka et un tracteur en plastique avec Sneezer en plastique dedans!!!!Tellement que j'était fatiguer je n ai même pas manger. Le lendemain j'avait faim et j' ai beaucoup mange. Je me suis prépare pour aller a la montagne, 30minutes après j ' était prête. Quand je suis arriver au monter. C 'était groupie qui ma pousser,et vous savez pourquoi??Parce que elle est jalouse de moi, parce que j' ai gagner le concoure de miss nutsy.net. Ma descente était horrible, j ai fait plein de galipettes,je me suis prit tous les rocher et en bas tout le mondes rigoler!Le voyage a été plus court que je le pensait.Alors repartant avec un oeil au beur noir,un bras dans le plâtre et une jambe cassée. En repartant dans le tracteur de Sneezer je vois groupie qui me dit mouhahahaha!!Voila mon voyage avec mésaventure. Et me voila a st Amour des noisettes.
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toukette Acrobate Saint Amour des Noisettes
Enfin, l'été était arrivé ! Ainsi que le mois de mes vacances, ces vacances que j'ai tant attendu et tant mérité après un long et dur labeur durant toute l'année.
J'avais depuis longtemps, prévu de partir faire du camping avec mes deux meilleures kureuillettes de mon village : POUPEE et Mélonie.
Après avoir rempli mon sac à dos, de ma toile de tente et de mon sac de couchage et de quelques victuailles, j'enfourchais mon vélo pour rejoindre mes amis en vue de partir au terrain de camping des Jeunes Pousses de Saint Amour.
Là, nous avons choisi un endroit embragé où nous nous sommes installées. Après un tour rapide du camping, nos yeux se sont arrêtés sur une superbe et grande affiche apposée sur le mur de la réception.
Il y avait un concours et pas n'importe lequel : le concours de la miss camping 2006.
Nos coeurs n'ont fait qu'un tour et nous nous sommes inscrites.
Après de nombreuses épreuves et d'hécatombe de nos adversaires, il n'en restait plus que trois, nous, les trois meilleures amies POUPEE, Mélonie et moi, la compétition serait rude...
Le grand soir était arrivé, mais oh malheur !!!
Ma coiffeuse avait oublié notre rendez-vous, ma robe qui devait être bien cintrée ressemblait à un sac de patates.
C'était la panique, les heures tournaient trop vites et le verdict approchait.
D'une main tremblante par le stress, la maquilleuse me fit une beauté, je me parfumais avec une eau de toilette qui avait une douce odeur de miel.
Le temps était orageux et les nuages chargés d'électricités. Bref, le temps était lourd.
Quand je fus prête, l'horreur arriva....
Excitées par le temps qu'il faisait et attirées par l'odeur du miel, des abeilles me piquèrent de leurs dards sur tout le corps.
Ces bestioles venaient d'être lachées, par Clicmoadroa pour se venger du vol de pierres que je venais de lui subtiliser.
Oh, pauvre de moi, le résultat était tombé. Je tenais la première place de miss camping 2006, des Jeunes Pousses de Saint Amour.
Mais quand je me présenta devant tous les kureuils du camping qui m'avaient élus, ils ne virent pas une superbe kureuillette mais un gros ballon plein de boutons.
Ce n'était plus miss camping 2006 mais miss boutons 2006.
La soirée se termina au coin d'un feu par des éclats de rire en se remémorant toutes les trois mes mésaventures.
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casse noisette.
-HAAA les grands vacances, enfin!Finis le cours de misquinerie avec assassin!Cette année je vais m'amuser dans un hôtel qui se trouve dans le desert, la ou y faut chaud, pres d'une oasis!!j'ai economiser pendant 2 ans pour cette aler-retourdans le desert!!
c'est ainsi qu'1H plus tard casse noisette. partit en avion accompagnée de sa valise.Apeine arrivée, elle rangeat ses affaire et courru sur la plage pour commencer une bronzage inttensif.Mais ausun endroie ne lui convenait!il faisait trop chaud, on etait trop a l'ombre,trop derangé par les petit ecureil,....enfinelle trouva un bon endroi!elle étendit son drap et se coucha dessu...
-AÏÏÏÏÏ
cria t-elle soudain!elle se releva et decouvrit une machoir de dinosaurre!
-HOOO un fosile!quelle decouverte! je vais etre riche!!vite il faut que je trouve un expert a se sujet!
casse noisette. telephona et l'expert arriva en un clin d'oeil.il eximina la machoir mais il ne savait pas si elle etait vrai.alors casse noisette rentra vite chez elle pour aller au musée de l'histoir de son village.
"hihihi,quand je serait riche je partirait en vacance tout le temps!" se disait-elle
pas plus de 50 scientifique examinait la machoir, tous aussi intereser par l'objet que les autre!!apres 2 jours il etait tous d'acord:la machoir etait FAUSE!!et la forme de machoi de ce "callou" est un pur hasard!casse noisette. partit une boule au coeur, ses projet de vacances briser!
-SNIF...2 ans d'economie perdue a cause de cette fichue pierre...BHOU HOU HOU!...
mais elle ne se doutait pas que le lendemain elle gagnerait au loto!!!
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Meesty villageoise Erablières baies au sucre
Enfin les périodes de vacances! Il est hors de question de ne pas profiter du soleil ! Meesty décide de se ruer vers une agence de voyage. Malgré qu'elle n'ait pas énormément de noisettes, elle négocie un magnifique voyage dans un hôtel au bord de la plage ainsi que quelques activités organisées.
Dès qu'elle rentre chez elle, Meesty court vite dans sa chambre pour mettre toutes ses petites tenues dans sa valise. Et ope c'est parti pour prendre l'avion.
Une fois arrivée, Meesty découvre son hôtel. Meesty dépose ses affaires dans la chambre et prend 10 noisettes pour aller s'acheter un maillot de bain rose qu'elle a aperçu dans un petit stand à l'entrée de l'hôtel. Apres l'avoir mis, elle va faire un petit plongeon dans la mer. L'eau est vraiment bonne ! Meesty nage un peu puis sort. Au moment de sa sortie tous les regards son dirigés vers elle. Certains écureuils la pointe même du doigt.
-Le concours de Miss Nutsy a dû avoir un succès monstre dans tout Nutsy !!, se dit-elle
Elle décide alors de sourire à tout le monde puis s'installe sur sa serviette. Quand soudain, elle s'aperçoit que son pelage est devenu tout rose.
-C'était donc ça qui les faisait rire ! Rhoo, c'est mon maillot de bain qui déteint! Marmonne-t-elle.
Meesty prend sa serviette et cours jusqu'à sa salle de bain. Après cette petite péripétie, elle va se coucher.
Le lendemain, Meesty monte sur un bateau pour faire de la plongée en apnée avec un moniteur. Après plusieurs explications, elle se jette à l'eau. Elle découvre alors la beauté des profondeurs. Il y a de merveilleux petits poisons de toutes les couleurs et les uns plus beaux que les autres. Quand soudain, Meesty voit au loin un énorme poisson. Elle essaie alors de remonter vite vers le bateau. Mais celui-ci est beaucoup trop loin. Meesty sent le poisson qui la rattrape, mais elle n'ose se retourner. Tout à coup, elle le sent toucher ses pâtes.
-ça yé, je vais mourir, se dit Meesty en fermant les yeux.
Après 2 minutes, elle est toujours en vie. Elle ouvre alors ses yeux. Et la, elle découvre une énorme baleine. Cette baleine la regarde avec ses gros yeux emplis de tristesse. Meesty soulagée, la caresse. La baleine fait des tours sur elle-même puis elle va sous Meesty pour la porter. Meesty s'accroche pour ne pas tomber. Après une demi-heure la baleine s'arrête à coté d'un bateau englouti. Meesty comprend alors qu'elle doit le visiter. Ce bateau ressemble à un bateau pirate. Puis elle voit quelque chose briller. Elle s'approche. C'est un trésor ! Elle décide alors de le prendre. Mais elle réalise qu'il fait encore jour et qu'elle ne peut sortir de la plage en pleinne journée avec un trésor dans les bras. Meesty explique alors son inquiétude à la baleine. Elle ne sait pas si celle-ci la comprend mais il semblerait que oui car elle l'emmène ailleurs. Meesty découvre alors la famille de la baleine. Son petit garçon est gravement blessé. Il semblerait que sa blessure ait été causée par un filet de pêcheur. Certainement dans le but de revendre cette baleine ! La nuit tombée, la baleine emmène de nouveau Meesty vers le trésor puis vers la plage. Les séparations sont douloureuses. Meesty promet à la baleine de faire le nécessaire pour que son fils soit guéri et qu'elle reviendrait lui rentre visite dans 3 mois.
Le lendemain matin, Meesty fait le nécessaire pour que la baleine soit guérie par l'un des meilleur vétérinaire de la région. Elle décide également de fonder une association pour les baleines en danger dans laquelle elle mettra presque tout le trésor. Meesty ne gardera que les noisettes nécessaires pour revenir dans 3 mois afin de voir le fils de la baleine en pleine forme.
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groupie villageoise Village Meurtrier
Le métier de Miss n'est pas une mince sinécure. On se doit d'aller à toutes les manifestations, on est assaillie
par les paparazzis et les journalistes. Mais heureusement nous avons droit à des vacances. Seulement ces dites vacances
n'ont pas été de tout repos. Le mieux serait que je commence par le début afin de vous narrez ce qu'il m'est arrivé.
Afin de passer des vacances tranquilles et incognito, j'avais préparé minutieusement dans mon nid douillet
l'itinéraire de mes vacances et fait les réservations par téléphone de mes points de chute.
Les cartes routières et
les livres jonchaient le sol de mon salon.
Puis arriva le grand jour. De bonne heure, avant que le soleil ne réchauffe la forêt nutsyenne, je quittais
incognito mon arbre, direction les vacances. Je me suis dit que je rangerais tout le bazar à mon retour.
Première etape : le port. Là devait m'attendre un yacht pour m'amener sur l'île qui se trouve au large de
Nutsyland. Je cherchais partout des yeux ce dit yacht, mais je ne vis rien.
Un vieil écureuil des mers me dit :" Si vous cherchez le bâteau je l'ai vu partir il y a 10 minutes"
A mon air triste, il me proposa de m'amener sur l'île avec son bâteau de pêche. Ce qui me valu une
traversée qui dura le double de temps. Je ne vous dis pas l'odeur de poisson qui avait imprégnée mes vêtements.
Une fois sur l'île je me dirigeais vers le seul hôtel. A la réception on me dit qu'il n'y avait plus de
chambre de libre et que je devais me tromper de dates pour mon séjour. Déçue, perdue, déprimée, je fus obligée de
passer la nuit à la belle étoile sous un gros chêne.
Deuxième étape : Le lendemain matin aprés une nuit affreuse, mal coiffée, les vêtements froisés, je courus
à l'endroit ou devait m'attendre un bel écureuil sportif et bronzé pour m'amener en deltaplane sur la rive ouest de
l'île où j'avais retenu un gîte rural dans une ferme.
Bien sûr plus de bel écureuil, plus de deltaplane. J'étais de plus en plus découragée, quand je vis une
cabane avec comme enseigne "Pédalo à louer".
Chose dite, chose faîte. Je me retrouvais pleine de courbatures à la ferme. Devinez ce qui
m'attendait.....et bien oui.....vous avez devinez. Mon gîte n'était plus libre mais il en restait un sans confort,
sans salle de bain, sans wc, vide quoi...... de chez vide. Le moral à zéro je me mis au lit. Je n'entendis même pas
le chant du coq le lendemain matin. Aprés une toilette sommaire à l'eau froide à la pompe dehors, je me dirigeais
au concours de la traite sauvage organisée par le fermier dam. Inutile de vous dire que j'ai perdu étant donné
l'état dans lequel je me trouvais aussi bien physiquement que moralement.
Il faut dire tout de même que les paparazzis m'avaient totalement oubliés, choses qui ne me déplaisait pas
mais qui m'intriguait.
Troisième et dernière étape : Je devais rejoindre le Pic de l'Ours où j'avais été si bien reçu l'hiver
dernier. Etant horriblement en retard sur les horaires de mon itinéraire, je regagnais l'hôtel du Pic de l'Ours par
mes propres moyens. En bas de l'hôtel, quel fut ma sptupéfaction de voir une meute d'écureuils et d'écureuillettes
qui acclamaient la Miss Nutsy 2006.
Je me pinçai afin de voir si je ne rêvais pas. Ouille...!!...
Non devant moi se trouvait POUTOU
Et oui, vous avez bien entendu. Poutou. Vous avez dû tous vous rendre compte qu'elle me ressemblait comme
une soeur jumelle. Je compris d'un seul coup ce qu'il s'était passé. Pendant mon sommeil, la veille de mon départ
en vacances, elle s'est subrepticement introduite dans mon nid et avait relevé tout mon itinéraire. Puis elle était
partie avant moi et s'est fait passée pour la Miss Nutsy partout où je devais aller. A elle les superbes vacances
et à moi la galère.
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Setsuna apprentie Village Meurtrier
Setsuna s'avança sur la scène, toujours aussi tremblante.
Bonjour messieurs, voici le récit de mes vacances bien méritées :
Je n'en revenais pas ! Après deux semaines d'examens intensifs et des mois de cours et de révisions, j'étais enfin en vacances ! Il n'y a pas à dire, les cours de droit de l'injustice, ce n'est pas de tout repos ... Mais le fait d'être en vacances n'était pas suffisant. Je voulais partir loin pour changer un peu d'air. Mais pour cela, il fallait en discuter avec mes supérieurs, les Chevaliers de l'Ordre des Esprits Maléfiques. Après d'apres négociations, Vengeur et Khyrria m'avaient finalement autorisé à partir, mais à une seule condition : servir d'espionne dans le milieu des vacanciers et faire une étude détaillée de cette "espèce à part " qui présentait une fâcheuse tendance à la joie et au bonheur durant les même périodes de l'année.
Après des heures de voyage dans ma nutmobile prête à rendre l'âme, à supporter la chaleur intensive due aux rayons du soleil, j'arrivais finalement dans une petite ville balnéaire tranquille. En cette première après-midi, je ne fis que visiter la ville avant de rentrer à l'hôtel prendre un bon repas et me coucher, épuisée par le voyage.
Le lendemain, alors que j'allais m'installer sur la plage, quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître un visage familier : un pelage brun, deux yeux noirs plus froids que la glace et une aura maléfique, Sauron se tenait sur la plage. Mais il portait le plus ridicule maillot que je n'avais jamais vu ! Il s'agissait d'un short de bain vert fluo avec des rayures et qui avait un aspect difforme complètement ridicule ! Je me retins tant bien que mal d'éclater de rire. Pour ne pas me faire remarquer, je choisi un coin retiré qui me permis de l'observer. Je décidais alors que mon séjour serait porté non pas sur l'étude des bisounours en vacances mais bien sur les vacances d'un membre de la Team Masquée.
Mon séjour n'alla que de surprise en surprise durant les 2 jours qui suivirent. Je vis un Sauron non pas froid et mauvais tel qu'il l'était en principe mais joyeux, prenant du plaisir à se baigner, flemmarder en ville, manger tranquillement dans des petits restos en bord de plage. Je notais les moindres détailles avec une grande avidité, mon esprit imaginant déjà tout les préjudices que je pourrais lui causer en dévoilant la vérité sur sa nature bisounoursienne.
Mais un soir, alors que je le suivais dans les rues de la ville, il se retourna brusquement, son instinct mesquineur lui ayant sans doute fait sentir ma présence. Ni une ni deux, je me jetais dans la boutique à ma gauche. Priant pour qu'il ne m'ait pas vu, je sortis lentement la tête mais il avait repris sa route, sans m'avoir vu semble-t-il. Je décidais alors de rentrer à l'hôtel pour ne pas prendre de risque.
Le lendemain, je déjeunais tranquillement quand soudain je vis une fourmi dans mon assiette. Soulevant lentement une feuille de salade, je me retrouvais face à des dizaines de fourmis grouillant parmis la nourriture. Je cru que j'allais vomir sur place. Cet événement marqua le début de l'enfer pour moi. En effet, le reste de mon séjour fut marqué par des catastrophes horribles telles qu'une armée de termites dévorant mes vêtements (que je dû intégralement racheter car il ne me restais plus rien), des corbeaux se jetant sur moi dans la rue ou encore une allergie intensive qui me fit perdre quelques poils alors que je venais de prendre un bain bien moussant.
J'entrais alors dans une dépression profonde à telle point que je fondis en larmes car je n'avais pas pu dormir depuis 2 jours. Finalement, alors que je rentrais chez moi après avoir été à nouveau attaquée par un groupe de termite, je trouvais Sauron devant ma porte. Il me dit avec un sourire ironique :
- Alors, tu passes un bon séjour ? La plage te plaît ?
- C'est à cause de toi ? C'est toi qui crées tout ces malheurs, qui font de mon séjour un enfer ?!
- C'est de ta faute si tout ça arrive. Si tu t'étais contenté de mener tes petites vacances sans t'occuper de moi, rien ne serait arrivé.
- Alors tu vas continuer à me mesquiner jusqu'à ce que je m'en aille ?
- Pas forcément, ça dépend de toi ...
- Hum ... Qu'est ce que tu veux ?
- C'est simple, que tu arrêtes de me suivre et surtout que tu ne racontes rien sur mon séjour. Sinon je veillerais à ce que ton séjour soit pire que l'enfer. Et je raconterais volontiers ta crise de larmes, ce qui fera très bien pour ton CV dans l'ODEM ...
-... Ok, je te laisse tranquille, je ne raconte rien, et tu fais pareil de ton coté.
- Marché conclu.
Et mon séjour continua alors tranquillement. Tout se passa bien, et même si il m'arrivait par hasard de croiser Sauron, nous nous ignorions totalement.
Voilà comment se passèrent mes vacances en bord de mer. Et même si finalement elles se passèrent merveilleusement bien, je rentrais frustrée de ne pouvoir rien dire du tout. Mais c'est maintenant chose faite et même si je risque de subir des représailles de sa part, vous connaissez tous la véritable nature de Sauron durant ses vacances ^^
Merci de m'avoir écouté.
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poutou villageoise Ecureuils et Noisettes
Cet été , j'ai décidé d'aller à la campagne. J'avais loué un grand arbre avec baie vitrée , j'avais préparé mes valises et j'avais même inviter chooppy à partir avec moi et il avait accepter avec joie !
Au moment de partir , je me suis rendue compte que j'était encore en chausson alors je suis vite allée mettre mes chaussures. Puis , j'ai plongé ma patte dans mon sac pour chercher mes clés et je ne les ai pas trouvées alors je les ai cherchées pendant une demi-heure et je les ai enfin trouvées dans mon deuxième sac. Chooppy était mort de rire !
Enfin dans la voiture , on partit prés à affronter 3 heures de voyage.
Quand on est enfin arrivé , on a monté les valises dans le nid puis on est allé faire faire une petite balade. Je suis téllement maladroite que durant cette romantique balade , enfin à la base , j'ai marché dans une bouse de vache , j'ai tribuché 2 fois dans un cailloux et je me suis perdue dans la forêt mais heureusement chooppy m'avait retrouvé. Il riait tellement qu'il en pleurait !
Le soir venu , on est allé se coucher mais je suis tombée du lit.
Aprés cette effroyable journée , rien de pire ne pouvait m'arriver ..... mais si .....
Le lendemain , panne d'électricité , de gaz et d'eau ! Heureusement , seulement pendant 3 heures.
Le reste de la semaine fût plutôt calme. Une fois de retour chez moi , j'ai remplit mon album photo et j'ai rejoin mes amis !
Quelle vacances tout de même ?
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Chesty Acrobate Bourg sous l'écorce
Mes vacances 2006
Nous sommes le 26 juillet et 2 semaines de canicule, je decide partire 1bonne semaine de vacance a la mer dans le sud du pays...
Me voila sur la route de l'aeroport car du nord c'est l'avion que je doit prendre pour me rendre dans le sud .
Voila que je suis dans l'avion direction le sud, qui je pense sera mes plus belles vacances.
Arrivee a l'aeroport je prend un taxi direction l'hotel deposer mes bagages et puis vite direction la plage, avec un temps si magnifique ca ne se rate pas.
Je me suis coucher sur mon transat que j'ai louer et me fit bronser apres 30 min je decide finalement d'aller me baignier et d'essaye de jouer un peu avec les autres.
Voila que j'ai trouver quelques ecureuilles qui ont accepter de jouer avec moi, mais voila qu'on joue au ballon et 1 ecureuille appele gribouille me jete la balle a la tete aiiiilllllll !!!!! et voila que je saigne du nez zut !!!!!
Je cours vite a coter de mon transat et prend vite un mouchoir et voila que ca va mieux, mais je decide de rentree a l'hotel car j'ai mal au nez et a la tete..
Surprise en me regardant dans le miroir je vois que mon nez a enfler et est bleu..
Je descent a l'infirmerie et la me conseille d'aller a l'hopital car il est probablement casser...
Je prend le taxi et direction l'hosto, puis 1h d'attente avant qu'un medecin me consulte et decide de me faire une radio et par mal chance il est casser !!! On me met un platre et la je me dit vive mes vacances a la mer, je ne serai pas me baignier et bronser avec un platre ca ne va pas, j'ai presque envie de pleurer sniff snifff !!!!
Je retourne a l'hotel, passer une bonne nuit enfin essayer et demain je telephonerai a l'agence pour un billet retour pour revenir plus tard quand tout sera fini...
Le lendemain matin, je telephone a l'agence et la ils me dise qu'il n'y a plus d'avion avec des places libres avant 2 jours. Pour finir je decide de partire dans 2 jours et de me promener un peu avant le retour...
Voila des vacances rater !!!!!!!!!!
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Marschupp villageoise Saint Amour des Noisettes
"Ca va Marschupp ?
- On fait aller. J'ai les pattes en feu. Faut dire que ça fait quand même trois jours qu'on marche dans ces montagnes.
- C'est vrai, mais c'est beau.
- C'est clair !"
Marschupp et Rizel continuèrent leur chemin, avec leur sac sur les épaules, cherchant un coin pour poser la tente. Elles commençaient à fatiguer, quand elles entendirent une voix derrière un rocher.
"Hey les filles ! Vous cherchez un coin pour passer la nuit ? V'nez par ici !
- Hein ?, dis Marschupp. Une marmotte qui parle ?
- Hey, tu crois qu'un écureuil qui fait du camping c'est plus courant ?, lui répondit la marmotte.
- C'est pas faux !, gloussa Rizel."
Elles suivirent donc la marmotte, car le soleil ne cessait de décroître, et trouver un espace plat dans le noir est une tâche ardue voir impossible. Les présentations se firent en chemin. Charlotte était la 3ème d'une famille de 5 et était toujours à la recherche de nouvelles compagnie. Il faut dire qu'au bout milieu du massif Carpatsy, il ne passait pas grand monde. Elle n'hésitait donc pas à aborder tout les randonneurs ! Et quand on dit tous...
"Voila, c'est ici ! Je vous présente Cemeuil, un chevreuil qui habite dans la vallée voisine. Il vient souvent nous rendre visite. Mais aujourd'hui, c'est un peu particulier, c'est l'anniversaire de ma maman, donc tout le monde est là : Camille la chenille, Barnabé le scarabée, Léon le bourdon, Chloé l'Araignée, ..."
Les présentations prirent un bon quart d'heure tant Charlotte était avide de rencontrer des gens.
La soirée commencait à peine à l'heure arrivée, mais la bjordka coulait déjà à flot, les glaces à l'orange partant comme des petits pains. Le temps passa tellement vite que le soleil se leva bientôt. Et se recoucha tout aussi vite ! Car les marmottes ont se pouvoir de faire des fêtes qui durent cinq jours ! Il faut dire que quand on dort tout l'hiver, il faut bien se rattraper l'été ;-).
c'est donc près d'une semaine plus tard que nos deux écureillettes reprirent leurs chaussures de marche Spornut.
Elles n'avaient pas réussi à aller là ou elle le voulait (au sommet du pic de l'Ours), mais leur séjour chez les marmottes leur laissa des souvenirs et des contacts partout dans la vallée.
Et c'est ainsi que quelques mois plus tard, lorsque Marschupp fut élue Miss Nutsy, elle pu s'échapper de ses obligations pendant une soirée à la station de ski du pic de l'Ours pour aller passer la nuit avec ses amis de la montagne.
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Nutyla débutante Pomme de Pin Valley
Comme prévu depuis trois mois, je n'attendais qu'une seule chose: mes vacances!
Gilbert et Poupée, un couple très romantique à mes yeux et qui, pour moi, est le couple parfait, devaient me retrouver chez moi.
Le téléphone se met à sonner:
" Allô?
- Oui, Nutyla? C'est boi! C'est Boubée, j'ai un betit imprévu... Voilà que je viens de tomber balade et je ne vais bas pouvoir venir avec vous...
- Oh, c'est pas vrai...Nen ben... on annule..
-Surtout pas! Partez, toi et Gilbert je vous donnerai des nouvelle de boi! Bisous"
J'étais vraiment déçue, je l'aime beaucoup Poupée... Il ne fallait plus que j'attende Gilbert.
driiiinnngg....ddrrrriiiiinnngg.
C'était Gilbert.
"Oh!!! Mais qu'est ce que tu as fais à tes cheveux? C'est...comment dire...c'est ..très..mo...Mognifique...eum eum...
- Bon allé on y va!"
Il était très bizarre. Je ne l'avais jamais vu ainsi.. Il a beaucoup changé depuis 2 mois...
Nous somme partis en voiture, c'est moi qui ais conduit.
Gilbert sentait une odeur de moisi... Ses vêtements étaient trempés mais je n'ai même pas osé lui demander ce qu'il lui était arrivé...Il était bien trop agressif...
[...]
Voilà déja 8 heures que nous étions partis et il n'avait pas touché un mot depuis le début...
Nous sommes arrivés à 14h35. Il faisait très beau et très chaud. Nous étions à Saint Tropez.
Nous avions fait une réservation pr deux chambres, une double et une simple. A ma grande surprise, Gilbert demanda une chambre double et de supprimer la simple. Je ne dis rien...
La chambre était magnifique je sentais que nos débuts de vacances allaient être un peu tendues mais que nous allions finir par nous adresser la parole...
"Euh je vais me doucher Gilbert...
-Oé....."
En sortant de la douche, j'aperçu Gilbert qui était en train de se déshabiller et de se mettre au lit à moitié nu...
" Alors tu viens?
- Qu'est ce que ca veut dire ca?... Poupée ne l'accepterai pas..."
Il m'attrapa le bras et commenca à me dire des choses horribles... Finalement, je suis sortis de la chambre en claquant la porte pour prendre l'air.
... wake up ake up on a saturday night, good be New york may be holl... Mon portable sonna.
"Nutyla? C'est Boubée... Je voulais te prévenir que c'est pas grave si tu a changé d'avis au sujet des vacances...
- Quoi? Ben je suis avec Gilbert comme prévu..
- Mais non arrête de dire des sotises, il est à côté de moi...Tu ne changera jamais toi!!! C'était pour te dire que son frère, c'est enfuit de l'asil et qu'il te cherchait... Tu lui dooit quelque chose?
- C'est pas vrai?... Je suis avec lui... J'ai cru que c'était Gilbert... Il m'a brutalisée...
- Bon Nutyla ne banique bas, nous allons trouver une solution... Ne le laisse pas tout seul, il pourrait comettre des erreures graves... J'appelle la police de l'hôtel où tu te trouve... a+"
J'étais vraiment male... En regardant en l'air, j'apercevait Franky, le frère de Gilbert tout nu, qui menaçait de sauter du balcon... Je n'ai pas eut peur puisque c'était à deux mètres du sol...
La police arriva très vite et le remmena à l'asil et moi chez moi... Je me souviendrais toujours de ces fausses vacances, qu'est ce qui aurait pu m'arriver de pire.... En tout cas je me suis rendu compte que j'ai été idiote de penser un seul instant que Gilbert aurait pû me brutalise ainsi, il est génial ce kureuil...
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Gourmandise villageoise Valléecureuil
Ce fut ce doux rayon de soleil qui annonce cette période bénie (les vacances) qui me réveilla. Auréolée de cette lumière chatoyante j'ouvris les yeux, les muscles encore fourbus de mon va et vient quotidien lié à cette vie urbaine.
Mais aujourd'hui, je m'éveillais sur un délicat matelas garnie d'édredon que m'offrai ma chère tante résidant sur son île, coupée de tout contact avec le chahut de la ville. Là, où, au lieu de la sonnerie stridente de votre réveil c'est le mélodieux murmure des vagues venant carresser le sable chaud qui vous réveille.
C'est dans cette atmosphère que débutèrent mes vacances. Hésiter entre paresser longuement dans mon lit ou sur la plage occupait la plupart de mon esprit. Marcher sur le sable chaud près des coquillage, siroter un grand verre de coktel bien glacée, regarder les mouettes triomphant du vent et sentir de douces vagues prendre le temps de venir chatouiller mes orteils avant de s'en retourner voir la mer, son infini de bleuxoù le soleil dardait ses rayons. Oui, cela me plaisait !
Un beau matin comme les autres, au lieu de l'harmonieux chant des vagues se fut le gargouilli dissonant s'échappant de mon ventre qui me réveilla. Vêtue de ma chemise de nuit et suivie de ces borborygmes impatients je descendis les escaliers me menant directement à ma pièce favorite. Vous l'aurez devinez, la cuisine ! Donc, je me dirigeai vers cette salle où toujours régnait les odeurs de confiture et de pain grillé. Les odeurs habituelles m'accueillèrent pourtant moins fortes que d'ordinaire. Je n'y prétai pas attention vu que, quoi que faibles elles n'avaient qu'attisées mon estomac. Alors encouragée par celui-ci, je me décidai à ouvrir le placard à sucreries que chaque matin me préparaient ma chère tante. Mais (il y a toujours un "mais" dans les plus belles histoires), mais, seules quelques miettes pouvaient répondre à ma faim.
C'est à ce moment que je remarquai la tempête qui faisait rage dehors. La mer, d'origine si calme et si claire était devenu si sombre et si tumultueuse que sur le coup un frisson me parcourut l'échine. Une fois que j'eus repris mes esprits. Je voulut retrouver ma tante, histoire de savoir se qu'il se passait sur cette île dite paisible.
Je fouillai donc toute la maison. La demeure avait un aspect campagnard et il y régnait un long silence qui aurait pu être agréable si les nuages laissaient leur place aux soleil. Une fois que j'eus finis de parcourir le Rez de chaussée e me tournai vers le 1er étage. La 1ere marche à peine franchit un terrible râle me parvint. Pensant tout de suite à ma tante qui était sans doute en grand danger si elle était resté dans sa chambre, je grimpai les escaliers en toute hate et m'arreta devant la porte. La peur me saisit... (un peu comme lorsque je me retrouve sur scène.... Nan nan je ne veux pas dire que vous ressembler à un terrible râle... mais... lol!) Prenant ma peur en main j'ouvris la porte et là....
Je trouvai ma tante profondément endormie qui pendant son sommeil ronfflait terriblement ! Je me hâtai de la réveiller et de lui expliquer la situation ! Elle m'explique avec un grand sourire :
"Oh ce n'est pas grave ! Pendant les périodes de tempête je m'endors si profondément rien ne peut me réveiller ! Pour la nourriture ne t'inquiète pas j'ai prévu des conserves de foies de noisettes en gelée ! Tu vois on ne risque pas de mourrir de faim même si cette tempête dure des mois !
- Des mois ?" eus-je du mal à articuler tellement dégoutée par l'idé des foies en gelée....
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Gallina villageoise Valléecureuil
Il fait sublimement beau, aujourd'hui. Je suis allongée sur ma serviette et je me prélasse au soleil. Ma fourrure, bien que déjà foncée, est en train de noircir, et mes cheveux roux, eux, gagnent de la brillance de jour en jour.
Je suis à Gland doré beach, la célèbre station balnéaire, depuis une semaine. J'ai pu me payer un petit appartement non loin de la plage grâce à mes économies, et je passe mes journées à bronzer sur le sable chaud et à me baigner dans la mer.
Je me saisis d'un petit biscuit rond et je l'avale. Ces gâteaux sont confectionnés par mon amie Gourmandise, passée maître dans l'art de faire des pâtisseries, toutes plus exquises les unes que les autres. Elle m'a même prété son chapeau de soleil pour les vacances. Je l'adore. Il est rouge, avec un ruban de soie orange.
Je me sens un peu engourdie. Je baille. Le soleil darde ses rayons soporifiques sur ma figure. Je sens les vagues qui clapotent à mes pieds. Je suis bien ici. Tranquille. Mmmmmm....
Aïe, ma tête ! J'ai du m'assoupi, car il fait maintenant nuit noire, et la plage est déserte. Tout en grelottant un peu, je réenfile en vitesse moa chemise et mon pantalon. Les nuits sont glaciales, ici, même en été. Je fourre toutes mes affaires dans mon cabas et chausse mes tongs. Quelle idiote je suis, de m'endormir sur la plage ! Mais ma tête a été protégée tout de même : j'avais mis mon chapeau. LOin devant moi, éclairée par la lune, se profile la barrière, qui sépare la plage de la route menant à la ville. Juste à côté, le poste de secours. Je m'élance. Le vent claque, et je dois faire des efforts pour avancer. La lune en profite pour s'esquiver derrière les nuages. Mon chapeau s'envole, mais je n'y vois goutte. Affolée (c'est le chapeau de Gourmandise), je tâtonne, à l'aveuglette. Les tênèbres se resserrent. Je sens mon pied heurter un rocher, et je m'écroule dans le sable. Mes coups de soleil me lancent. Je suis dans un sal pétrin.
Au bout d'une dizaine de minutes, la lune daigne finalement réapparaître, et je découvre avec surprise que je me situe dans un endroit qui m'est totalement inconnu. En claquant des dents, j'essaye de m'attacher les cheveux avec un fichu, mais mes mains tremblent. Le fichu se détache et prend la fuite. Je lui cours après.
Je pateauge lamentablement dans le sable mouillé, mon cabas dans une main, le fichu, que j'ai finalement réussi à rattrapper, dans l'autre. Mon pantalon détrempé me colle aux pattes, et mon cuir chevelu souffre du manque de chapeau, qui me donne la tête froide.
La lune a sans doute décidé de réparer sa grosse bêtise, car elle consent à m'offrir un éclairage avantageux. Mon pied gauche se prend dans les algues. Je peste. Après une bonne minute passée à extriper mon pied de cette masse gluante et visqueuse, je reprend ma route. Je quitte les sables mouvants pour escalader une colline, et je débouche, mi-entousiasmée, mi-embêtée, dans une ville que je ne connais strictement pas. Profitant de la lumière des réverbères, je consulte ma montre. Minuit passé. Je file à travers la ville, en quête d'un logement. Arrivée devant un hôtel mituex, une ombre accroche mon regard. Un écureuil. Il est vêtu d'une longue robe noire et d'un masque de la même couleur. Il se déplace à pas feutrés, tenant serré contre lui une boîte en carton. Sans réfléchir plus longtemps, je me met à le suivre.
Il avance prudemment, si bien qu'il est assez facile de le filer, même pour une débutante comme moi. Il longe la grande route et plonge dans la campagne. Le coeur battant la chamarde, je me faufile derrière lui.
Il est quatre heures du matin. Je disparait dans la grotte à sa suite. L'absence de lumière me donne la chair de poule. J'entend des murmures. Sans me faire prier, je me cache derrière un renfoncement de la paroi. Des ricanements. Je jette un coup d'oeil, terrorisée. Une lueur danse au fond du tunnel. A petits pas, je progresse vers la lumière.
Je suis complêtement perdue. La lumière a disparu, je je tourne en rond dans ce dédale de galleries. J'ai faim, soif, mais surtout peur. Il fait jour, mainenant, mais cette caverne reste obscure, si bien que ma vision se limite à regarder l'heure sur ma montre et ne pas foncer dans les murs à tout bout de champ.
Je marche toujours. Mes pieds ankylosés me font horriblement souffrir. Je suis complêtement anéantie, et j'ai perdu tout mon sang froid. La lanière de mon cabas me scie l'épaule, et mon pantalon, qui ne paraît pas vouloir sécher, reste plaqué contre mes jambres flajolantes. Mais je n'ai pas trop le choix. Je dois continuer à marcher.
Je crois discerner une porte. Il y a une sortie là-bas. J'espère ne pas avoir de mauvaise surprise.
Je fonce t^te baissée, et arrive à la hauteur de la porte. Ma main aggrippe frébilement la poignée. Je pousse. Sans succès. Tire. Idem. Tourne. Un petit cliquetis. Encouragée, j'entrebaille légèrement la porte. Une pièce, probablement vide de toute âme. Sur la table ronde, qui trône avantageusement au beau milieu de la pièce, repose tout de sortes d'ingrédients allant de l'innocent miel d'abeille au pipi de termite. Un frisson me parcours l'échine. Je suis dans un atelier de mesquineur ! Dans le fond de la pièce, un laboratoire, et une multitude de fioles remplies de liquides colorés d'une provenance douteuse. Je tent la main, tire une petite chaise vers moi.
"Ne bougez plus !"tonne une voix derrière moi.
Je n'en reviens pas de m'être fourrée dans une telle galère. Je suis assise dans un minuscule placard à balai, en me rongeant le frein d'anxiété. L'écureuil qui m'avait découverte m'y avait précipité sans plus de cérémonie, et j'avais beau taper, la porte ne s'ouvrait pas. Je suis vraiment embêtée.
Je me trouve dans un atelier de mesquinerie, qui, d'après ce que j'ai perçu, fournit la TM et l'ODEM en mesquineries variées. J'espère que je ne vais pas leur servir de cobaye... J'ai déjà expérimenté le savon Ph fou une fois, et ça m'a bien suffit.
J'ai réussi à dévérouiller le locquet ! J'ai tellement frappé sur le battant de la porte que le verrou a coulissé. J'attend que la pièce soit vide. Je pourrais alors m'enfuir.
"Non ! c'est pas vrai ! me cire la voix de Gourmandise au téléphone.
"Si ! Je te promets ! Cet organisme s'appelle FCM (Fournisseur sur Commande de Mesquineries) rétorquais-je.
"Et ben dit donc ! En voilà des vacances mouvementées !
Je raccroche vite fait. Elle n'est pas au courant pour son chapeau.
Après avoir réussi à sortir du placard, je suis partie sans faire de bruit, et j'ai erré pendant une heure ou deux dans les galeries obscures et souterraines. J'ai finalement trouvé la sortie, non sans peines, et je me suis retrouvée... sur la plage de Gland Doré beach ! Je suis entrée en coup de vent dans le POste de Secours et ai dévalisé le frigo. Bon, maintenant, le plus dur reste à faire : trouver un nouveau chapeau pour Gourmandise...
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mélonie Aventurière St Amour des Noisettes
Quel plaisir de se prélasser au soleil ........et surtout quel plaisir d'être en vacances et oui depuis ce matin ....je me suis installée au quartier des jeunes pousses dans le village dArachidedorée paradise...j'y ai planté mon bivouac et je vais profiter de ce séjour pour me reposer ....me ballader et bien sur profiter de la plage du lac ......comme je le fais maintenant ...je suis venue à patte , demain je reviendrai peut être avec mon vélo cyclonutsien .....
il est l'heure de partir je range ma serviette .....etc et en route .... qu'il est agréable de cheminer dans la forêt je profite pleinement de la nature ...j'hume le bon air et de-ci de-là je ceuille une fleur des fruits ..... j'arrive bientôt au campement .....mon museau hume, une fois de plus , une bonne odeur familière oui l'odeur des baies que je raffole mais ou ce cachent t'elles ....ha super je les aperçois derrière le buisson ...n'écoutant que ma gourmandise je m'engouffre dans ce buissonn et ......aieeee malheur je viens de déranger un nid de guèpes et à entendre leurs BZZZ BZZZZ elles n'apprécient pas du tout ....pauvre de moi ...vite je sors du buisson, en m'écorchant ....peu importe je dois fuir ces furies ....je cours aussi vite que je le peux ...les guêpes à mes trousses et je hurle " au secours au secours "..... ....je prendsla direction de la mare ....plonge ma fille me dis'je mais au mème moment je trébuche sur une pierre et ploufffff dans la mare la tête la première ....aiee aiee aieee ...je reprends mes esprit , me retourne et retombe dans l'eau tant la douleur à ma patte est cuisante ....et là , je vois , sur le bord de cette mare ....toukette et ses amis , tous rient aux éclats ....il est vrai que la scène est pitorresque .....mais moi je souffre trop pour rire avec eux ....._ "aidez moi j'ai trop mal ...." à l'aide d'une corde que toukette m'a lancé je me hisse hors de l'eau .....! ouffff mais je remarque la tête de toukette ....elle semble apeurée comme si elle venait de voir un monstre ...... et elle Me regarde qu'ai-je donc ?? .....l'horreur je découvre se qui a effrayé mon ami ....sur mon pelage d'énormes cloques rouges ......j'en ai de partout ....en plus elles me démangent ..... ma patte à doubler de volume ....j'ai vraiment une mine pitoyable ....et je souffre ...!!!
ma chère toukette m'a conduite chez le docteur ....diagnostic ...entorse à la patte et ....urticaire géant ....enfin allergie aux piquures de guêpes ....et me voilà avec une patte platrée et toute graisseuse ...pour plusieurs jours .... en plus la pommade qui graisse mon pelage et active la disparition des cloques est nauséabonde ......l'odeur ressemble à celle du tracteur de Sneezer ....!!!
fini les baignades ....les escursions ...finies les belles vacances ......!!! me voilà une patte immobilisée et le pellage affreux ....!!!
vacances gachées ....pour cause de gourmandise .....!!!!
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Perlette Aventurière Bourg sous l'écorce
Avide d'aventures, Perlette avait choisi d'aller passer ses vacances dans les contrées sauvages du pays des ornithorynques. Ne connaissant quasiment rien, elle y allait en touriste. Elle avait amené une bouée canard pour essayer de le reconnaitre si un ornithorynque s'approchait d'elle.
Après avoir vadrouillé pendant plusieurs heures entre les hautes herbes, Perlette tourna enfin et trouva un lac. Pour l'instant aucun habitant en vue. Seuls quelques rodins de bois flottaient. Le lac était calme, idéalement situé à l'ombre sans trop vent, ni trop de soleil. Perlette posa ses bagages et se mît à ouvrir son étuis à guitare pour y sortir celle-ci. À chaque fois qu'elle regardait cette guitare, Perlette la trouvait magnifiquement belle, avec une étincelle de magie lorsqu'elle brillait à la lumière. Elle prît sa guitare et joua un morceau complet et s'accompagna de sa voix pour continuer de jouer.
La journée passa et le soir arriva. La température avait baissé à une vitesse folle et Perlette n'eût pas d'autre solution que de faire un feu. Elle s'en alla un peu plus loin dans la forêt avoisinant le lac chercher quelques branchages. Le sol était humide et frais le bois était imbibé d'eau et donc inutilisable. Elle décida de grimper aux arbres dont elle n'avait aucune idée sur leurs espèces. Elle avait juste remarqué qu'ils portaient une odeur assez infecte. Elle prît quelques branches mortes et repartît à son feu de camp.
Pendant ce temps, un drôle d'animal avec une voix de canard et tapant de la queue avait investi le camp. Perlette se précipita pour chercher sa bouée. Il n'y avait pas de grandes ressemblances mais Perlette savait que c'était bien un ornithorynque. Une voix de canard, un bec, et une queue de castor... ça ne pouvait être que ça! Aucune chance de se tromper! Cependant, l'ornithorynque ne semblait pas être décidé à s'expliquer avec Perlette. Elle se mît donc à entasser ses bouts de bois sans faire attention à cet animal mangeant des sortes d'aliments bizarres.
Le castor prît enfin la parole en demandant à notre chère Perlette si elle souhaitait partager avec lui son festin fraichement acquis. Perlette esquissa un sourire. Cela partait d'une bonne intention. Elle sortit de son sac, la quiche bourg-sous-l'écorçiainne qu'elle avait préparé le matin même. Elle lui proposa une part qu'il prît volontier. La discussion s'entama de suite. Elle expliqua la recette de cette quiche et il expliqua la façon de pêcher qu'il avait bien à lui. Elle comprît ainsi que les aliments qu'elle avait sous les yeux n'étaient autres que des mollusques d'eau douce et des larves de mouches...
Ils se mîrent par la suite à parler musique, Perlette lui montrant comment jouer de la guitare et lui, expliquant qu'il était un instrument de percussion sur pattes. En tapant de la queue et claquant du bec, en rythme, il pouvait faire une étrange mélodie allant très bien avec le style du personnage. Le platypus demanda alors si elle pouvait chanter et jouer une nouvelle fois la chanson de son arrivée au lac. Perlette, un peu surprise, prît plaisir à jouer et chanter en même temps et l'ornithorynque se mit à ajouter sa touche personnelle à cette agréable chanson. Le résultat était magnifique. Plus qu'enchanteur. Il se fît tard et le monotrème à queue plate rentra dans son terrier, laissant Perlette seule. Elle prît son sac de couchage et s'endormît de suite.
Les jours suivants, Perlette n'eût aucune visite de son ami l'ornithorynque. Elle resta à côté du lac pendant plus d'une semaine avant de partir, heureuse de sa rencontre des plus intéressantes.
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Lilifoc Acrobate Bourg sous l'écorce
Voilà presque déjà une semaine que je suis arrivée au camping des noisettes bleues où je dois passer mes vacances d'été en compagnie de quelques amis. Jusqu'ici tout a été impeccable. Nous sommes à trois pas du lac, il fait beau, il n'y a pas trop de monde. Au programme : farniente, farniente et farniente. Le top ! Ce matin nous allons à la plage, quasi déserte (plutôt bizarre à cette époque de l'année), et profitons pleinement de cette magnifique journée : jeux, bronzage et pique-nique. En fin d'après midi, nous commençons à partir lorsqu'un gars qui passe nous dit, surpris : "Eh ben quoi ? Vous n'avez pas vu le panneau ? J'espère pour vous que ce n'est pas trop grave." Etonnés, nous allons voir le paneau en question : "Baignade interdite pour cause de pollution". Sur le coup, on est pas trop inquiets. En rentrant au camping, on va se doucher en frottant bien partout.
Le lendemain, je sors de ma tente encore un peu ensommeillée lorsque Portion me demande : "Ca va, Lili ? C'est marrant, ce matin, je te trouve... comment dire... un peu... verte..." Je le regarde un peu surprise, croyant qu'il se fiche de moi et là je m'aperçois que pour sa part il tire un peu sur le jaune poussin. Hiiiiiiiiiiiiiiii ! Panique à bord, nous sommes tous légèrement colorés. Je constate dépitée que le vert ne me sied guère, par contre Alfred porte très bien le rouge et le bleu donne du charme à Sucette. Je me sens un peu lésée, heureusement le mauve convient très mal à Major. Dans le camping, nous faisons sensation ! Tout le monde nous tourne autour en nous observant mais sans trop oser s'approcher. Passé la première surprise, c'est plutôt rigolo. Et apparement il n'y a pas d'autre effet, nous nous sentons très bien. Mais ce n'est pas l'avis de nos voisins qui ont appelé les urgences. Nous voilà emmenés de gré ou de force pour l'hopital.
Je passe les détails mais pour résumer on a passé le reste de nos vacances en quarantaine. On a pu repartir seulement lorsqu'ils furent bien sûrs qu'on avait retrouvé notre teint naturel. Bref, les pires vacances que j'ai jamais passé, bien qu'on ait quand même pas mal rigolé ! Et depuis, je n'ose plus poser le bout de la patte dans l'eau d'un lac.
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Ninicaramelette villageoise Gland Doré sur Mer
RRRrrr ... pschitt ... RRRrrr ... pschitt ...
- MEUH !!!
- Hein ? Qwa ? Qu'est ce'y s'passe ?
- Meuh !!!
- Ah, c'est toi Marguerite !
Je suis à la campagne, chez ma tante Léopoldine en train de faire la grasse matinnée et voilà que je suis réveille par sa vache, elle s'appelle Marguerite. Je venais d'arriver en train de chez ma tante et arrivée en voiture tout de suite, je me suis assoupie dans la chambre d'invités.
Maintenant que cette stupide vache m'a réveillée, je ne vais pas me rendormir. En pijama, je me dirige vers la cuisine de ma tante pour aller " petit-déjeuner".
- Bonjour Nini !
- Bonjour tata, as-tu bien dormi ?
Et patati et patata , les mots qu'on se dit tous les jours quoi !
- Ca sent drôlement bon, ces trucs là, qu'est ce que c'est ?
- Ca ? Ah, c'est juste ma nouvelle façon de préparer un lait chaud en fait. Je te dirais comment je fais ça.
- En tout cas, tu n'as pas oublié que j'adorais tes tartines !
- Ah non, ça je ne peux pas l'oublier !
Et nous déjeunons tout en donnant notre avis sur la nouvelle coupe de cheveux de Nuttela Anderson. Je l'aime pas moi, si vous voulez mon avis. Je préfère de loin mes couettes.
Tata et moi, on peut passer des heures à faire ces choses là. Dans notre famille, nous avons l'esprit critique. La preuve, il est déjà midi quand nous avons terminé.
Pour ne pas avoir d'indigestion, nous décidons de ne pas manger pour midi. Le temps passe plus vite à la campagne on dirait.
Alors nous décidons d'aller traire Marguerite ( je ne suis plus en pijama là !).
- Meuh !
- Nini, tu lui fais mal !
- Oops ! Désolée, Marguerite.
- Pousse toi, je vais te montrer.
- Tu sais tata, tu n'es pas obligée de la traire à la main, les machines existent.
- Oui mais avec les machines on ne peut pas cuire un lait chaud direct.
- Ah oui, tu devais m'expliquer comment tu fais.
- C'est vrai, j'avais oublié. Je prends de l'âge tu sais. Alors, en fait je fais courir Marguerite, et ensuite je danse la salsa, la bamba le cha cha. La vache essais de m'imiter et en bougeant le lait chauffe et quand je la trais c'est mmmhhh !
- Mmmhhh ?
- Meuh !
Et c'est après un cours de traite de vache et de salsa et de bamba et de cha cha et aussi de fou rire que nous allons ma tante, Marguerite et moi cueillir des fleurs dans la colline pas très loin.
Léopoldine a beau être vieille, pas Marguerite ( enfin pas d'âge mental on le voit bien !). Alors grâce à sa force, elle nous mêne ma tante et moi sur son dos vers la colline fleurie.
- Atcha !!!
- A tes souhaits Nini !
- Tata je suis allergique aux fleurs de campagne, rentrons tout de suite !
- Allons y, je connais dans le bois un lieu où personne ne va epcepté Marguerite et moi.
A dos de marguerite, nous nous dirigeons vers le bois. C'est un lieu magnifique ! C'est une clairière, il y un étang grand pour deux kureuilettes dedans !
Mais quelle déception, nous n'avions pas de maillot de bain ! Mais nous pouvons toujours faire trempette des pattes, non ?
Le soir, je suis bien contente de ma journée riche en émotions et je m'endors avec le seul souci de rencontrer Marguerite au réveil ...
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geneviève Acrobate Saint Amour des Noisettes
Les organisateurs du concours des Miss ont accepté de nous donner quelques jours de repos afin de nous refaire p'tite beauté, et ainsi revenir encore plus belles qu'avant! J'ai donc pris ma planche, ma combinaison de plongée, mon body-board et ma panoplie de maillots. Direction Gland Doré sur Mer! Histoire de reprendre les couleurs perdues à cause du stress, et surtout de perdre les quelques kilos que certains juges m'ont fait prendre grâce à leur grattitude!
Après avoir récupéré les clés de l'appartement que j'avais loué (bah oui, une future Miss, ne peut pas se permettre de faire du camping... c'est pas très esthétique!) et déposé mes affaires dans la chambre (que j'ai mis du temps à trouver...! C'est un canapé pliant, c'est pour ça!), c'est parti pour la plage! Je sens déjà l'iode et je me précipite dans les embruns, ravie de ces vacances inespérées! Mais là, malheur! Plus aucune place sur le sable pour moi... Pourtant, il est quand même assez tôt! Mais j'ai eu vite fait de résoudre ce problème pour faire dégager tout le monde... J'ai eu recours à mes vieilles leçons de taekwondo! Du coup, j'ai trouvé de la place... quasiment un quart de la plage... m'enfin, j'ai UNE place et je pose vite ma splendide serviette à l'effigie de Niluge, le Roi de Nutsy (serviette que je me suis procurée à prix fort, je dois l'avouer car il n'y en avait qu'un petit nombre sur le marché!)! Peu de temps après, me voilà à l'eau prête à relever tous les défis... sauf celui qui m'attendait! A peine arrivée, je vois tout le monde remonter à toute vitesse vers la plage, me laissant seule face à un.... A UN REQUIN!!!!!!!!!!!!!! Au secours, au secours! J'avais beau crier, personne n'accourait. Quand j'ai enfin repris le dessus face à ma peur, j'ai foncé vers la plage, mais trop tard! Je voyais déjà les grandes dents pointues du requin se refermer sur... sur ma
patte! Je ne voulais pas trop bouger car le requin avait quand même ma patte dans son museau! Et puis d'un coup... Ah? Mais il est gentil le requin! Il vient de réouvrir son museau!
Un peu sous le choc, j'essaie de nager pour dégager ma patte, mais une vague vient frapper ma patte arrière, et voilà, que je fais un faux mouvement et qu'un coup alla fracasser la tête de ce monstre! Arf, je comprends sa réaction qui a été de vite reprendre ma patte dans sa mâchoire!
Comme je commençais à avoir la jambe totalement engourdie, je me suis tournée vers le requin que je voyais bien me fixer... et là, j'aurai cru voir un p'tit ange! Il avait les yeux bleus océan, un regard profond et perçant, et surtout il était...... tout petit! Ce n'était qu'un petit, mais sa mère lui avait donné comme exercice d'apprendre à faire peur, en attaquant une jolie kureuillette blonde... bon la couleur c'est un peu raté, mais il doit être dislexique!
Dire que j'ai failli faire une crise cardiaque à cause de lui! Mais j'ai quand même réussi à délirer pas mal... on aurait pu croire que j'étais ivre... ce qui n'était pas le cas! Je me suis excusée du mieux que je pouvais face au requin (je parle pas couramment le requin!) et il m'a racompagné sur la plage. Les kureuils qui suivaient attentivement ses moindres gestes, ont tous reculés, nous voyant arriver! Ils n'auraient pas pu venir me secourir eux? Franchement, sympa la solidarité! Ca fait plaisir!
Un jeune kureuil musclé avec un maillot rouge est alors arrivé. J'ai traversé la plage dans ses bras... une chance qu'il soit pas tombé sur groupie! Il se serait écroulé avant d'avoir réussi à la porter! M'enfin, il m'a emmenée à l'hôpital le plus proche pour que ma patte soit soignée. Mais moi, je voulais voir le Dr Lardon, pas un autre! Je l'ai donc forcé à m'y enmmener! Quant à ma patte, je me demande d'ailleurs pourquoi je l'ai regardée... j'aurai pas dû, je vais être traumatisée à vie maintenant, parce que le requineau, il m'a escagacée, j'vous dis pas, il y est allé franco! Du coup, me voilà avec un plâtre... pendant quelques... MOIS!!!!!!!!! Pas d'chance! Si je le recroise ce requin, il va avoir de mes nouvelles! Et que je le vois pas trainer vers la marre de St Amour! M'enfin, il m'a quand même racompagné sur la plage... c'était gentil de sa part!
Maintenant va falloir expliquer tout ça à Gilbert... En tout cas, sur une patte ou sur deux, je continue le concours! ;)
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kokoon apprentie Saint Amour des Noisettes
Ha, je les avais bien méritées, ces vacances, après tous ces longs mois de travail à fabriquer et vendre des tapis, poufs, plantes et mesquineries !
C'est en taxi que nous partîmes pour l'aéroport, ma copine Léa et moi. Eléanor est ma copine d'enfance, on se connaît depuis toujours, on a tellement de souvenir de rigolade, de coup de gueule ! On a fait les 400 coups ensemble ! Je ne vais pas vous raconter, ça serait trop long ! C'est elle qui avait gagné à la loterie ce voyage pour 2 personnes à Tahiti dans un hôtel 4 étoiles, pension complète. Etant célibataire et moi aussi, c'était en toute logique qu'elle m'avait invitée. Nous passâmes devant la taverne. J'en avais donné de la sueur cette année dans le foot et le tennis histoire de garder la forme !
Je fermai les yeux et pensai plutôt à ce qui nous attendait : La plage... je suis étendue sur le sable chaud à ne rien faire ! A moi les bains de soleil ! A moi le lèche-vitrine à dépenser les économies de toute une année de dur labeur ! L'hôtel 4 étoiles... je vais me faire dorloter, coucouner, chouchouter... me faire servir... bref je vais flé-mar-der grave ! En profiter à fond ! Je pensais aux soirées qui nous attendaient là-bas, Léa est une vraie boute-en-train quand elle s'y met !
Nous montâmes dans l'avion, direction Tahiti !
A notre arrivée, colliers et couronnes de fleurs, un taxi nous emmena directement à l'hôtel. Ca commençait bien, quel pied !
Arrivée à l'hôtel : nous étions attendues, on nous accueillit chaleureusement. On pris nos bagages et nous conduisit dans nos chambre...N°12 et... 13...
"Je prends la 13", dis-je, après tout je ne suis pas superstitieuse, et je sais combien Léa à peur de tout !
"Aller, dépêche-toi, Léa, juste le temps de passer un maillot de bain, les bagages attendront, et on se retrouve à la piscine de l'hôtel. On attendra demain pour notre premier plongeon dans la mer !"
L'eau était délicieuse, le temps magnifique. J'étais arrivée la première et je vis Léa arriver, me cherchant du regard. Je plongeai sous l'eau pour ne pas être vu et m'approchai du bord où elle se tenait. J'émergeai et attrapai sa jambe ! Déséquilibrée, elle tomba dans la piscine, d'un seul coup ! Elle va me tuer, c'est sûre ! "Toi je te revaudrais ça", dit-elle faussement contrariée... et nous éclatâmes de rire, notre complicité était restée la même depuis toutes ces années.
Le lendemain matin, je me réveillai très tôt, ne pouvant plus dormir. Je me levai, pris mon maillot de bain et descendis jusqu'à la plage prendre mon premier bain de mer. Qu'elle était bonne ! Il était encore tôt, je décidai donc de prendre mon petit déjeuner dans un café, en dehors de l'hôtel.
Que de brouhahas, devant ce café ! La terrasse était remplie de monde ainsi que la rue elle-même. Je m'assis à la terrasse et posai mon sac sur la table. C'est alors que je remarquai que le serveur me regardait d'un air mi-amusé, mi-moqueur. Je m'apprêtai à lui balancer une réflexion bien mordante, lorsqu'un homme arriva droit sur moi en criant, gesticulant, rouge de colère. Vu sa tête, il devait bien avoir fait une mauvaise rencontre avec la Team Masqué ou l'ODEM !
"Déguerpissez ! Aboya-t-il, zavez rien à faire ici ! Aller, on dégage ! ". Tout le monde à la terrasse et dans la rue s'était figé et l'on entendait plus qu'un lourd silence. Seul le serveur, son plateau à la main, semblait avoir le plus grand mal à contenir son rire.
Je regardai l'homme droit dans les yeux et dis : "Qu'est-ce qui vous prend de me parler sur ce ton ? Ca va pas, non ? Fichez-moi la paix. C'est vous qui allez dégager ! Garçon ! Un bjordcacao, svp !" Le garçon de café, n'en pouvant plus, partit en un gigantesque éclat de rire, bientôt suivi de tous les gens de la rue !
Ahurie, abasourdie, je dis en balbutiant : "Mais qu'est-ce qui se passe ici ? Qu'est-ce que j'ai fait ?"
Seul l'homme en face de moi ne riait pas : "Qu'est-ce qui ce passe ??? Elle me demande ce qui ce passe ici !!! Il se passe que l'on tourne ici ! Vous avez entendu parler du cinéma ? Oui, non, jamais ? Je me présente : Luc Pinson, réalisateur du film" le 5ème kureuil" ! Et cette foule qui rit ce sont des comédiens"
Je devins rouge de confusion de la racine des poils de la tête, jusqu'à la pointe de mes pattes ! J'aurais voulu pouvoir me cacher dans un trou de souris !
"Désolée", lâchais-je avec un petit rire forcé. "Pour le bjordcacao... heu... vous pouvez annulé la commande... heu... je dois partir... ma copine m'attend. Bonne continuation... A la prochaine alors... et ravie d'avoir fait votre connaissance !" Je fis un rapide salut de la main et me retournai. C'est alors que je bousculai le "serveur". Son plateau et tous ce qu'il y avait dessus atterrit sur le sol dans un grand fracas ! Le comble ! Tout le monde se mit à rire de plus belle ! Les yeux de Luc Pinson semblaient lancer des éclairs. Cramoisie, je me baissai pour ramasser les morceaux et le "serveur" fit de même au même moment, si bien que nous nous heurtâmes et l'on atterrit les fesses par terre. "Désolée", je balbutiais à nouveau. Je me coupais le bout du doigt avec un morceau de verre. Je me relevai et le garçon pris ma main pour regarder la blessure. "Ce n'est rien dis-je, rien du tout". J'ôtai précipitamment ma main, ramassais mon sac, et partis en courant, sous les rires et applaudissements de toute la troupe. Je rentrai à l'hôtel où Léa m'attendait, inquiète. "Où étais-tu ? Ca fait une heure que je te cherche partout ! Je croyais qu'on t'avait kidnappée !" Pire que cela, pensais-je ! "Mais qu'est-ce que tu as, tu ne te sens pas bien ? Tu t'es coupé ?"
"C'est rien, je monte mettre un pansement et non, je ne me sens pas bien du tout, je vais m'allonger". Et je plantais là mon amie.
Plus tard, Léa vint m'apporter un plateau car je n'avais rien mangé de la matinée et j'avalai le tout en un temps record ! Elle me posa des questions auxquelles je restai évasive. l'après-midi, nous le passâmes à nous faire dorer sur la plage et à nous baigner. Le soir, nous montâmes dans nos chambres pour nous préparer pour le dîner. En arrivant dans la salle de restaurant, je redevins rouge cramoisie ! Une bonne partie de l'équipe du film s'était réunie là (exepté le réalisateur qui ne semblait pas avoir voulu se méler au commun des mortels !), autour d'une immense table et avait commencé leur repas ! Quelqu'un me reconnut et fit signe aux autres. Ils sourirent et les réflexions commencèrent à fuser : "une t'ite bjorcacao, mademoiselle ? Garçon, svp ! Ca va les fesses ? !" Je fis bonne figure, et lâcha un rire (jaune) forcé. Léa ne comprenait rien du tout. "Je t'expliquerais". Le "garçon" se leva, s'approcha de nous et me dit : "Nous ne nous sommes pas présenté : je m'appelle Léopold, et vous ? " "Moi, c'est kokoon, enchanté... Je suis confuse pour ce matin" "C'est oublié. Voulez-vous vous joindre à nous ? " Léa me chuchota : "Je sais pas ce qui c'est passé, mais tu vas pas refuser, c'est l'équipe du film "le 5ème kureuil" de Luc Pinson qui tourne dans la ville !". Ne voulant pas décevoir ni Léa ni mon nouvel ami, je dis : "Avec plaisir, si tout le monde est d'accord." Je passai une agréable soirée et tout le monde sembla oublier l'incident du matin. Le reste du séjour se déroula agréablement, sans autre incident. J'étais souvent avec l'équipe pour suivre mon "serveur" préféré.
Aujourd'hui, je regarde le film qui passe à la télé, blotti dans mon sofa. Je recrains la fin du film. En effet, quelques temps après mes vacances, j'ai eu la bonne et/ou mauvaise surprise, de recevoir par courrier un joli chèque que me proposait la production du film si j'acceptais les termes d'un contrat : l'autorisation de passer en bêtisier à la fin du film ma petite mésaventure ! En effet, la caméra n'avait cessé de tourner pendant tout ce temps !
Toutes ces noisettes, ça aurait été un crime de les refuser ! Et là, je pense que je n'oserais plus jamais sortir de mon nid à partir de demain : je suis en train de me ridiculiser devant tout les habitants de Nutsy !
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rosalinne débutante Saint Amour des Noisettes
Il n'y a pas longtemps, la veille de mes vacances je me couchais. En me levant, je pris ma voiture et je partis pour une maison inhabitée depuis 100 ans, qui s'appelait Viper'super.
Dans le village où était Viper'super, je m'arrêtais et j'achetais le journal. Je lus en gros titre:Meurtre au manoir Viper'super de Mme Grange! Je m'inquiétais et j'allais voir un barman pour lui demander ce que c'était que ceci.
Il me répondit que c'était le titre d'un film qui retrace le meurtre de Mme Grange, il y a33ans. Je compris tout de suite que quelque chose clochait car la maison était inhabitée depuis 100 ans.
En reprenant confiance en moi, je partis. En arrivant dans la maison, la porte fut fermée par un homme qui m'attacha à une chaise et il me força à regarder la projection du meurtre de Mme Grange
Quand ce fut terminé, il prit un couteau et me dit que j'allais mourrir comme elle et et et ... Je me réveille, tout ceci n'était qu'un rêve houf
Le lendemain, je partis comme prévu sauf que j'ai rencontré un orphelin que j'ai hébergé et à qui j'ai trouvé une famille .
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L'épreuve 3 sera donnée tout à l'heure par Poupée! Bonne lecture à tous!