cette magnifique fleurs, est un "sabot de la vierge" sorte d'orchidée que la créatrice de mélèze à la chance de voir dans les sous bois près de chez elle, c'est une espèce protégée, bien heureusement ! mélèze est chaque fois en extase devant cette sublime fleur ! ne fait t'elle pas rêver ! et quand on a la chance de la voir dans son environement naturelle, je vous laisse imaginer !!!
mélèze se dit que marronne ne sait pas l'exposition qu'elle veut lancer!!!!!! mélèze n'avait pas fini de poster ses fleurs,,!!! ça ne fait rien, elle les postera sur son p'tit paradis !!!!mdr
nounours et ses amis !
En octobre, la plante entre en « dormance », c’est à dire qu’elle hiverne, enfouie sous le sable de la Loire. A son réveil, la fleur réclame une fraicheur savamment dosée jusqu’au moment de son éclosion. Elle est donc placée en serre froide artificielle ( 0 °) pour permettre l’enracinement. Ce maintien au frais représente une dépense énergétique considérable.
Mais pour respecter le calendrier à la lettre, il convient de jongler avec la météo. Les premières pousses éclosent entre le 10 et le 15 mars. La plante est alors mise sous châssis, à l’ombre, pour optimiser la croissance des brins et la blancheur des clochettes. Mi-avril, la cueillette, la mise en bouquet et le conditionnement commencent. Le muguet prend ensuite la direction du "frigo" pour optimiser la fraîcheur de la plante qui ne vit qu’entre 4 et 5 jours. Où il attendra de quitter le bassin nantais en camions réfrigérés (4 à 5°), le 28 avril. Un voyage pas vraiment écologique mais, à ce jour, la seule solution pour que la clochette n’arrive pas fânée sur les étals.
Si les fleurs commencent à éclore au bout de la troisième année, c’est à partir de la quatrième que la culture devient rentable. A la sixième année, les griffes sont arrachées et régénérées, en décembre, avant d’être replantées fin mars et de recommencer un cycle.hhhhoooooo, c'est génial ! et hop et hop et hop !!