Il était une fois une personne bien entourée agée de 94 ans qui était aveugle et en plus grabataire.Un jour une dame merveilleuse lui vint en aide. Cette dame lui fit redécouvrir la vie telle qu'elle était cette dame était heureuse elle sentait toutes les fleurs de son jardin.Un jour elle découvrit son arrière petit fils de 5ans et ce jour elle vaicu une de ses plus belles journées qu'elle n'ai jamais vaicu ils jouèrent ensemble du piano à quatre main. Malheuresement cette dame mourrut mais avec ses quatre dernière années de sa vie heureuses grace à cette dame qui lui avait fait retrouver le gout de la vie.
Voilà c'est court mais j'avais envi de la raconter car c'est unehistoire vrai et je la trouve très émouvante.
PARTIE I
L'Empereur Céleste de Jade fêtait son anniversaire, les immortels allèrent lui apporter leurs voeux. La fêtes dura trois jours et trois nuits. Le Dragon doré, ennuyé, sortit se distraire en dehors du Palais céleste. Soudain, il entendit des pleurs qui venaient de la terre. Il se métamorphosa en être humain, descendit sur la Terre et demanda ce qui se passait auprès d'une fillette en sanglots.
La fillette leva les yeux et vit devant elle un mignon garçon. Toujours éplorée, elle se plaignit:
- Depuis trois ans, pas une seule goutte d'eau n'est tombée. Les
plantes ayant péri, nous voilà réduits à manger l'écorce des arbres.
Puis elle se remit à sangloter et conduisit le garçon près d'un trou
creusé dans le sol. Montrant les traces de sang aux alentours du trou,
elle expliqua:
- Pour que tout le monde au village puisse avoir de l'eau, mon
grand-père a invité tous les habitants à utiliser le puits qui lui
appartenait. Mais celui-ci ne contenait pas assez d'eau pour qu'ils en
bénéficient indéfiniment. Mon grand-père s'est alors résolu à creuser
d'autres puits. Il a travaillé sans répit nuit et jour, mais un mois
s'est écoulé sans que la moindre trace d'eau n'aparaisse, quoiqu'il en
eût déjà creusé à quelques dizaines de mètres au-dessous du sol.
Accablé de soif, de faim et de fatigue, il a fini par rendre l'âme...
Entendant cela, le Dragon doré ne put retenir ses larmes. Et d'un coup de pied sur le sol, le voilà volatilisé qui s'en va vers le ciel.
A l'endroit où il avait donné le coup de pied, la fillette vit
apparaître un étang d'eau avec l'empreinte des cinq doigts d'une patte
au fond. Elle se hâta d'aller faire part de cela à tous les villageois
qui, exultant, s'adressèrent au firmament en ces termes:
- Dragon divin, nous te sommes infiniment reconnaissants pour cet
étang. Pourtant cette quantité n'est point suffisante pour que vivent
les plantes et les humains. Mieux vaut donc faire pleuvoir à torrents.
Le Dragon doré, à ces appels, retourna dans le Palais les immortels ayant fait bonne chère, étaient partis les uns après les autres.
Il alla voir le Dragon souverain de la mer orientale, maître des
pluies. Il lui fit part des plaintes des habitants de la Terre. Or ce
dernier, à moitié ivre, répondit avec des hoquets:
- Sans l'ordre de Sa Majesté l'Empereur de Jade, je... je... je ne suis pas à même de commander les... pluies.
Le Dragon doré, sur le champ, décida de demander audience à l'Empereur
suprême. Arrivé à sa demeure, il fut arrêté parles gardiens de la
résidence de l'Empereur, qui lui en interdirent l'accès:
- Sa Majesté suprême a trop bu. Vous feriez mieux de revenir demain.
Le visiteur ainsi rejeté se mit à réfléchir:
Il finit par trouver une solution. Il s'adressa au Maître du Tonnerre et à la Maîtresse de l'Eclair:
- Sire Tonnerre et Duchesse Eclair, ayez pitié de ces pauvres
malheureux. Si vous ne pouvez faire tomber la pluie, vous êtes capables
de faire éclater tonnerre et éclair. Puis il se présenta chez les
propriétaires du Vent et des Nuages:
- Ayez pitié, mes chers amis, de ces pauvres malheureux. Si vous ne
pouvez commander la pluie, vos nuages et vents les rafraîchiront.
Faites-les apparaître, je vous en supplie, afin qu'ils en bénéficient.
Soudain, le vent se mit à souffler, les nuages à s'amonceler, le tonnerre à gronder et l'éclair à briller. A toutes jambes, le Dragon doré revint au Palais où habitait le souverain de la mer Orientale et lui cria droit dans les oreilles:
- Sa Majesté suprême t'ordonne de faire tomber des pluies, mais tu tardes à t'arracher du sommeil. Veux-tu te faire punir!
Celui-ci, toujours dans les vignes du Seigneur, entendant vent et tonnerre, prit la bouteille contenant la pluie et la versa sur la Terre.
Et les humains , depuis longtemps assoiffés sautèrent de joie au milieu des pluies, tant ils étaient reconnaissants au Dragon doré, leur sauveur!
La pluie avait à peine cessé que l'Empereur suprême s'enquit de l'événement. Il convoqua une assemblée des Immortels et, dans une fureur rare, il menaça de tuer le Dragon doré.
Tonnerre et Eclair, ayant pitié de l'accusé, implorèrent grâce pour lui auprès de l'Empereur en colère. Vent et Nuages, de concert, répandirent la nouvelle sur la Terre. Les humains, irrités, manifestèrent en faveur de leur sauveur, lançant des pétards et battant du tambour. Pris de peur, l'Empereur Céleste fit preuve de clémence: Le Dragon doré serait condamné à la vie terrestre et brûlé.
Les habitants d'ici-bas, trop bons pour infliger une telle peine au Dragon, eurent l'idée de remplacer le feu par de la poudre tassée dans un tube de bambou. La poudre en explosant, ferait jaillir des étincelles ressemblant à un incendie sans pour autant nuire au Dragon. Le Dragon doré s'en sortit ainsi sain et sauf.
Dorénavant, le 15 janvier lunaire, il est d'usage d'organiser des danses avec de petits Dragons de papier ou de bambou, fabriqués à l'image de leur sauveur vaillant, afin de rendre hommage à ce dernier pour son sacrifice et, en même temps, de partager avec lui leur joie des bonnes récoltes.
Fin de cette Histoire.
En des temps reculés, alors que l'humanité n'était qu'un rêve, vivait un vieux Sage. Son savoir était tel que nul ne pouvait rivaliser avec lui.
Il
avait deux jeunes femmes attachées à son service,
l'une d'essence divine se prénomait Arwinnia, l'autre tirant
ces origines des abysses s'appelait Soliina.
Toutes deux avaient une beauté capable de ravir le coeur de tous les hommes. Arwinnia était plus connue pour sa vivacité d'esprit, Soliina pour sa tenacité.
Sentant son heure proche et le besoin d'indépendance de ses élèves, le Sage décida de proposer une derniere épreuvre à ses deux disciples.
C'est ainsi qu'il les réunit et tint ce discours :
"Mes enfants, vous n'avez servi fidèlement depuis bien des années. Il est temps maintenant de vous rendre votre liberté. J'ai en ma posession un objet que je voudrais vous lèguer avant votre départ. Malheureusement cet objet est unique et ne peut être partagé. Je vous remets ces deux verres, la première qui remplira le verre de la rosée du matin et me le rapportera, recevra le Glaive de Lumière."
Chacune partit donc avec son verre.
Soliina , consciencieuse et opiniatre, se leva tôt le matin alla recueillir la rosée goutte à goutte sur les feuilles des arbres et des fleurs. Mais le Soleil fit évaporer la rosée bien avant qu'elle eu le temps de remplir son verre. Qu'à cela ne tienne ! Elle le refera demain, après-demain... et ainsi de suite jusqu'à remplir complétement le verre.
Arwinnia, de son coté, chercha un linge propre, alla l'étendre le soir sur une surface plane en extérieur en ayant pris soin de bien fixer l'étoffe pour qu'il ne s'envole point au premier coup de vent. En une matinée, elle parvint à remplir son verre et alla l'offrir au Sage qui lui fit don du Glaive. Aussitôt qu'elle le reçu, elle tira la lame de son fourreau, le brandit dans les airs. De la lame jaillit une lumière aveuglante et puis Arwinnia se mit à s'élever dans les cieux. Arwinnia pouvait maintenant se rendre de lieu en lieu à une vitesse extraordinaire.
Bien, bien plus tard, Soliina revint trouver le Sage avec son verre qu'elle avait eu tant de mal à remplir. Quelle fut sa déception d'apprendre que le prix a déjà été remporté. Elle pleura toutes les larmes de son corps.
Le
Sage, touché par la détresse et les efforts de son élève,
lui dit ceci pour la consoler :
"Je ne peux malheureusement t'offrir le Glaive que tu désires, car il appartient maintenant à Arwinnia. Mais je peux t'offrir le moyen de t'approprier ce Glaive. Voici cette hache de lancer qui a la propriété de revenir à son lanceur. Il te suffit maintenant de retrouver Arwinnia et, lorsque tu la verras brandir son glaive, ferme les yeux pour ne pas être aveuglée par la lumière et lance la hache dans sa direction."
Ainsi armée Soliina, parcourt le monde à la recherche d'Arwinnia. Chaque fois qu'elle voit un trait de lumière zébré le ciel, elle ferme les yeux et lance sa hache qui gronde en fendant l'espace.
Mais chaque fois elle rate Arwinnia et sa hache lui revient dans les mains. Inlassablement elle reprend sa quête.
C'est pour cela que depuis la nuit des temps, l'éclair précède toujours le tonnerre. Car l'orage est le champs de bataille de nos deux héroines.
Le caillou du dessous, du monde aquatique était un silex, bien dur. Le caillou du dessus était une jolie pierre un peu précieuse, une agate au reflet émeraude.
Mais chacun de ces minéraux étaient
cabossés par la vie, beaux mais pas parfaits.
Chacun de leur côté ils avaient entendu raconter par les Anciens
que chacun a dans le monde son complément parfait, son autre moitié.
Le silex interrogea le Grand Génie du Monde du Dessous et l'agate interrogea le Grand Génie des Forêts et des Monts.
On leur répondit :
-"Un jour viendra et un Grand Chambardement fera exploser le monde. Monts et Océans se rencontreront, bougeront".
-"Mais comment ?"
-"Il y aura du tonnerre, des éclairs,
des coups de foudre……. tout sera sens dessus dessous, tout tremblera !!!
Et un jour, le soleil chauffa soudain plus fort, l'océan déborda, les grands monts rencontrèrent les mers lointaines. Les cailloux furent projetés dans les airs et roulèrent longtemps.
Le calme revenu le silex et l'agate ouvrirent
les yeux.
Ils étaient en pleine lumière bleue,
sous une musique douce et il y avait des pierres partout !
Quand ils voulurent bouger ils ne purent le faire. Le silex avait à
côté de lui une autre pierre aux reflets verts qui épousait exactement ses creux et ses bosses et
l'agate avait la même chose. Ils étaient réunis par le Hasard Céleste et ils formaient
une pierre unique aux reflets noirs et verts d'une rondeur parfaite.
La sphère idéale !
Chacun avait trouvé sa moitié parfaite !
Sur cette bille unique tout allait glisser : l'eau, le vent, le bruit, le froid, le chaud.
- "Cette sphère c'est la nôtre crièrent-ils en cœur ! Tu es mon double parfait ! Je ne te cherchais pas mais le Hasard vient de nous réunir !"
Les grands Génies avaient donc raison : si le Hasard le veut chacun trouve son parfait complément ! Alors ne cherchez pas, cela se fera malgré vous et ce jour là tout sera différent.
La perfection n'est à l'évidence pas de ce monde, ni dans celui du dessous ni dans celui du dessus, mais parfois il y a des rencontres bizarres, uniques, un ver de terre amoureux d'une étoile, le silex accolé à son agate, etc…
Le rêve permet à chacun de croire, ou pas, ce récit des Génies des Monts ou des Profondeurs.
L'important….. c'est de rêver.
Et si pour vous le rêve devient réalité un jour, ici, ailleurs, il importera de ne pas défaire ce que le Hasard aura réuni , de ne pas séparer ceux que le destin aura unis.