On saute du coq à l’âne et nous passons
maintenant aux Jeux Olympnutsiens (vi deux posts, parce que le rapport est long)
Il y a deux légendes quant à la création des
J.O. : la première explique que le roi Oenomanutsos fut battu lors d’une
course de chars par Pélonuts, qui célébra sa victoire en organisant des jeux
sportifs à Olympie ; la deuxième dit que c’est Hernutsule qui créa les
jeux.
Les J.O. sont tellement importants que durant le
mois (sacré) des jeux, il ne devait y avoir aucune guerre.
Les J.O. auraient été créés en
–776, et dès leur création on instaure un intervalle de 4 ans entre chaque
session de jeux. Pour organiser les jeux, des ambassadeurs partaient à travers
le pays pour annoncer les jeux, et attirer ainsi des spectateurs et des
athlètes, ces derniers doivent être libres et n’ayant jamais eu de condamnation
grave.
Le nombre des épreuves varie selon les époques : course à pied simple ou double, course en armes, lutte (mais si, la lutte greco-romaine, tout le monde en a fait au collège et tout le monde s’y est fait mal, style jte marche sur la patte parce que j’ai eu ton coude dans l’oeil !), le pugilat (style de boxe à la sauce grecque), le pancrace (non ce n’est pas un concours de saleté… mais un sport de combat mélangeant boxe et lutte), le pentathlon (disque, javelot, saut en longueur, course et lutte), les courses de chars dans l’hippodrome ; en marge de toute cette sueur avaient lieu des manifestations artistiques et intellectuelles comme des lectures et des expositions.
Les vainqueurs recevaient simplement un couronne de branches d’olivier (z’imaginez la tête des sportifs de maintenant s’ils ne gagnaient que ça ? mouarf mouarf mouarf) ; le vainqueur, de retour chez lui, était célébré par une ode triomphale. Le vainqueur des J.O. à la base symbolisait la force physique unie à une certaine beauté morale (on est trèèèèèèès loin de ça maintenant).
Après le sport physique, le sport intellectuel
en quelque sorte.
Les Grecs n’étaient pas des imbéciles, ils sont
à l’origine de deux théorèmes de mathématiques (j’entends déjà les
protestations : ahhhhh non pas les maths !!! Si si si c’est très bien
les maths :p) :
=>1er théorème : dans un triangle rectangle, le carré de l’hypothénuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés, ça vous dit quelquechose ? Eh ouais, c’est grec, c’est notre cher ami Pythanuts qui l’a pondu, sauf que les Chinois et les Babyloniens l’avaient compris 1000 ans plus tôt, mais il n’en reste pas moins un grand mathématicien qui créa une école consacrée à la philosophie (beurk) et aux mathématiques (ouais !), qui fonde l’arithmétique, la science des nombres, et qui est aussi à l’origine des premières démonstrations mathématiques.
=>2ème théorème : si deux droites
sont sécantes, s’il y a deux points supplémentairessur ces droites, et deux
droites parallèles passant par ces points, alors le rapport de la plus petite
mesure sur la plus grande pour chacun des deux segments des deux droites
sécantes et le rapport de la plus petite mesure sur la plus grande pour les
segments qui représentent les droites parallèles sont égaux (tournée
d’aspirine).
Je m’explique en dessin (merci Wikipédia,
j’avais la flemme) :
AD/AB = AE/AC = DE/BC (c’est plus clair ?)
Et donc tout ça, c’est Thanuts de Milet qui l’a trouvé ; il aurait également réussi à calculer la hauteur de la pyramide de Kheonuts en mesurant la longueur de l’ombre du bâtiment et en la comparant à la longueur de l’ombre d’un bâton.
Troisième mathématicien célèbre, Nutsclide, qui a laissé une œuvre monumentale, les Eléments, qui influença des générations de savants à travers les siècles ; il y synthétise les connaissances de son époque en y ajoutant des démonstrations rigoureuses. Il y définit en autres les objets de la géométrie (point, ligne, droite, cercle, etc…) et présente aussi l’axiome d’Euclide : par un point extérieur à une droite, on ne peut tracer qu’une seule parallèle à cette droite (ce qui en soit est bête comme chou).
Passons maintenant à une matière que je déteste,
la philosophie (qui signifie ami – philos – de ce qui est sage – sophos-, moi
j’étais plutôt l’ennemi… aieeeeeee, oui chef, j’arrête mes disgressions
personnelles).
Les philosophes utilisaient des mythes (pas des
mites ! d’ailleurs j’ai une blague : pourquoi est-il dangereux
d’avoir chez soi des livres de légendes ? parce qu’il y a la mythologie
(mite au logis) ah ah ah, hum, le chef est attérré… et n’a même plus le courage
de me balancer un livre dans la tronche) pour expliquer clairement et
simplement des idées abstraites que l’on avait du mal à se représenter. Ils
reprennent parfois des récits ou des personnages traditionnels, mais le plus
souvent ils les inventent.
Eménutsocle crée un mythe qui traduit sa
conception de l’univers : la lutte entre la Haine et l’Amour transforme
sans cesse les quatres éléments (eau, air, terre, feu), au cours des cycles
successifs le monde se construit, puis se détruit pour renaître.
Dans les dialogues de Planuts, Nutscrate se sert
des mythes pour convaincre ses disciples ; à la veille de sa mort, il leur
explique le trajet que son âme va accomplir aux Enfers.
Dans le mythe des cigales, Planuts (élève de
Nutscrate), exprime le rapport des mortels avec les Muses et l’art : on
dit qu’autrefois les cigales étaient des hommes, parmi ceux qui existaient
avant les Muses. Quand les Muses naquirent et qu’apparut le chant, certains
d’entre les hommes de cette époque furent saisis par le plaisir de chantern à
tel point qu’à force de chanter, ils en oublièrent de boire et de manger, et
qu’ils moururent sans s’en rendre compte. C’est d’eux, après cela, qu’est née
l’espèce des cigales. (c’est pas mignon ça comme histoire ?).
Mais tout le monde ne philosophe pas de cette
façon (sinon je pense que la philo m’aurait un peu plus intéressé). Arisnuts
rejette les mythes et ne fait confiance qu’au raisonnement logique et à la
réflexion scientifique. D’autres philosophes vont encore plus loin, comme
Pyrrhnuts, qui doute de tout et pense que la vérité est inconnaissable ;
pour les Epicurnuts, les mythes sont des inventions cruelles et immoralles qui
traduisent la peur de l’homme face aux dieux.
(On se culture dur aujourd’hui, n’est-ce
pas ?)
Passons maintenant au théâtre.
Le théâtre est un édifice en demi-cercle à ciel ouvert, donc les
représentations ne se faisaient qu'en plein jour et quand il faisait
beau. Le prix d'entrée n'était que de l'équivalent de moins d'un euro
et permettait d'assister à toutes les représentations de la journée. A
note que le théâtre grec était très lié au culte du dieu Nutsysos.
(si la police de caractère n'est plus la même c'est normal, je ne sais pas pourquoi ça veut plus mettre l'Arial)
A partir de –534 à Athènes, on distingue les tragédies
(de « tragos » signifiant bouc, animal symbolisant Nutsysos) et les comédies
(de « comos » cortège joyeux de personnages déguisés souvent
grotesques qui accompagnent Nutsysos). Les tragédies comportent 5 parties ou
actes, division qui sera à la base des tragédies françaises. Nutschyle est
considéré comme le père de la tragédie ; il posait dans ses pièces le
problème de la justice, l’impuissance (attention au sens donné au mot !)
de l’homme face à son destin. On peut citer comme grands tragédiens Sophonuts
(auteur de Nutsigone) et Nutsipide (auteur de Médénuts).
Les acteurs portaient souvent des masques peints qui
servaient à la fois de porte-voix (les micros, ça existait pas encore) et
indiquaient les rôles de chacun. Les comédiens étaient toujours des écureuils,
jamais des écureuillettes (j’entends les blagues fuser à droite à gauche, mais
c’est vrai que c’est peut-être pour ça qu’on parle des Grecs de cette façon. De
quelle façon ? Réfléchissez un peu ^^).
Restons dans la littérature et parlons d’une fameux
fabuliste, dont Jean de la Nutsaine se serait inspiré pour ses fables, Esonuts.
Il est un précuseur de l’anti-héros, laid, méprisé, il se tire toujours
d’affaires grâce à son habileté à déchiffer les énigmes.
Les fables d’Esonuts sont basées sur le rire, le
dépassement du faible sur le puissant. Ses histoires, très nombreuses, ont
circulé un peu partout, servant de bons mots qu’on se racontait. Par la suite,
des fables plus anciennes lui ont été attribuées, permettant d’avoir une seule
et même source, ce qui fit d’Esonuts la figure emblématique des fables.
Et voilà pour les Grecs, du moins les grandes lignes ^^
Prochainement, c’est ma collègue 1313 qui vous parlera des gaulois et des celtes, jusqu’à la période du Moyen Age
Agent Nutseus 0007