Diana est très secrète savez-vous ? Aussi, elle ne vous dira pas comment elle est partie. Les périples qu'elle a vécu pour arriver jusque là.

Devoir laisser son petit Dann derrière elle fut un vrai crève coeur. Mais elle devait se prouver à elle même (et à certains mauvais esprits) qu'elle était capable de repousser ses limites, de tout remettre en question. De sortir de son petit cocon douillet et de se bousculer pour ne pas sombrer dans la molllesse et la monotonie des jours qui se succèdent, semblables et monotones,  et où rien ne se passe.

Elle voulait aussi que son fils soit fier d'elle. Elle qui faisait office à la fois de maman et de papa. Elle voulait lui prouver à son petit Dann qu'elle en avait, ...du courage (mdr). Lui faire comprendre qu'il  est sa fierté et sa raison de vivre.

Non elle vous dira juste qu'elle est arrivée à bon port et qu'elle est bien décidée à remporter la victoire haut la patte. Qu'on vienne s'y frotter. On verra bien de quel bois elle se chauffe !

Elle pose son équipement de survie, sort une barre énergétique qu'elle mange avec délice, puis décide de faire le tour du propriétaire pour se familiariser avec les lieux, qui de prime abord ne lui semblent pas si hostiles qu'il y paraissait.

Enfin, qui vivra verra se dit-elle. Elle aperçut au loin Groupie endormie dans son hamac et qui ronflait comme un bûcheron. Elle partit à l'aventure un sourire amusé au museau.

 

 

 

 

J'aimerai savoir qui est le gentil kureuil qui a remorqué papy Skouiky derrière son radeau ???

Comment je suis arrivé ici ? C'est bien siple. J'étais en taverne avec Jabbalehutt, Bjorgveldt et Mielpops en train de boire une bjordka à la taverne (mais que une hein ^^) et ils m'ont lancé un pari en me disant que je n'étais pas capable d'y aller car j'étais trop renfermé sur moi même.Alors, brave comme je suis, j'ai pris mon courage dans mes deux pattes et je suis parti m'inscrire.

Par contre, il y avait un problème.Comment ce rendre sur l'île ? J'ai fait tout le marché pour trouvé une location de radeau, mais en vaint.C'est là que j'ai rencontré Mr Monsieur qui m'a dit d'emprunter un radeau a l'agence du Noeud Rose. Il m'avait certifié qu'il n'y avait pas de risque, donc je l'ai cru.

Arrivé sur le port pour prendre mon embarcation, J'ai vu.....l'épave :( Mr Monsieur était autant dégouté que moi. Payé si cher pour une si médiocre qualité, je crie ABUS :p J'ai été obligé de "skwatter" le radeau de Liloutette, si gentille écureuilette qui a bien accépté de me prendre en "stop" :p

La voyage à été éprouvant, ramer, ramer alors que je voyais Mielpops avec son moteur :(

Arrivés sur l'ïle, j'ai tout de suite pris la carte, et est essayer de chercher l'eau.J'ai remarqué aussi la Noize avec une mygale qui lui courait sur la jambe, je vous dit pas le délire ^^.

 

Après de multiples péripéties au cours de ma traversée à travers les mers Indinuts, me voici enfin arrivée saine et sauve sur l’île de Galapanuts. Je profite donc d’un instant de répit pour vous raconter mes premières impressions sur ce voyage :

 

Voilà, au départ je n’étais pas très emballée pour partir car j’ai une grande peur de l’eau mais plusieurs villageois m’ont encouragé à participer à ce concours. Je remercie particulièrement mes amis fidèles comme Mamaya, POUPEE, Fizz, fafi12, Ben War et ptimignon et bien d’autres encore. Je me suis dit qu’après tout, c’était le moment ou jamais de vaincre ma peur….. Bien sûr, je ne le montrais pas trop car les participants des villages voisins se seraient bien moqués de moi ! Je me demandais au départ  quelle embarcation j’allais prendre car ayant fait le tour du marché rien ne me convenait. J’avais tout de même emporté avec moi :

- Un détecteur de métaux en espérant dénicher quelques trésors,

- Mon peigne que je ne quitte jamais car une mairesse décoiffée vous n’y pensez pas !

- Un gros jerrican d’eau de source de la Flûte enchantée,

- Une bouteille de whisky pour me remonter le moral,

- Et enfin un arc et des flèches pour pêcher ou chasser.

 

Quant à l’embarcation proprement dite, j’ai retrouvé l’oreille de mer (un lambi plus exactement) qu’un de mes cousins lointains m’avait fait cadeau il y a quelques années en arrière, lors d’un de ses voyages en Martinique. Comme il était tellement gros, je n’avais pas pu l’installer dans mon nid et l'avais descendu dans ma cave.  Et là, du coup pour l’occasion, je venais d’avoir une idée fabuleuse. Oui, j’avais le coquillage mais comment allait-il tenir en équilibre sur l’eau ? Il fallait à tout prix que je trouve quelque chose ! Trois jours passèrent et je me creusais toujours la cervelle…… Sur le journal, je vis que c’était le jour des « encombrants ». Comme j’adore farfouiner un peu partout, je me baladais par hasard dans le village de Bourg sous l’Ecorce où le maire actuel Skouiky marchait avec des déambulateurs. Eh oh miracle, lorsque je passais devant chez lui, je remarquais qu’il avait jeté un de ses déambulateurs car il n’y avait plus de caoutchouc aux pieds. Pff, quel gaspillage ! Pensais-je. Il y en a vraiment qui n’ont pas la valeur des noisettes ! Mais une lueur traversait mon esprit et je me suis dit que les barres de fer conviendraient tout à fait pour faire flotter mon embarcation et c’est ainsi que j’étais fin prête pour une nouvelle aventure……

 

Le départ se fit sans embûche, j’avais tout de même la peur au ventre car je me demandais qu’est-ce que j’allais devenir. Quelques jours passèrent lorsque tout d’un coup, une tempête se leva. Je m’abritais tant bien que mal dans mon embarcation mais elle résistait aux secousses ainsi que les liens qui tenaient tout mon nécessaire. Je passais une nuit épouvantable, j’étais malade comme un chien et je ne vous raconte pas le reste……Je remarquais un drapeau de pirate flotter sur l’eau et je me mis à claquer des dents et à trember de tout mon petit corps de frêle cureuillette sans défense. J’avais aperçu également quelqu’autres concurrents comme Mr Monsieur, Groupie, dianaplume qui s’en sortaient pas trop mal ma foi, mais je vis aussi au loin comme chanse et Mielpops,  l’embarcation de papy Skouiky qui était à la renverse. Je lui faisais signe de la patte, lui criais que je ne savais pas nager et que le vent emportait mon embarcation et que je n’arrivais pas à me diriger jusqu’à lui. Je le laissais donc accrocher ainsi à mon grand désarroi ! J’eus quelques remords, je savais qu’il était un peu casse pied mais c’était un bon bougre tout de même et je laissais une larme couler sur ma joue. J’espérais le retrouver sur l’île malgré tout.  Et voilà maintenant je suis là sous les palmiers, bien vivante. Je m’approchais de dianaplume et de groupie car c’était les deux seules cureuillettes qui étaient ici………Je me sentais lasse et démoralisée……

 

 

Tout  commença au mois de janvier, une idée sogronue depuis plusieurs semaines trottait dans ma tête .. construire un bateau j’étais loin d’imaginer ce qui arriverai par la suite.

J’avais demandé à quelques amis de mon village et d’autres villages de venir me donner un coup de main. Tictictic apporta les outils : rabots, ciseaux à bois, différentes scies, un vilebrequin, des serre-joints,  un marteau, des pinceaux enfin  de quoi construire mon bateau je fournissais les planches  j’avais demandé a reinette de dessiner les plans du bateau car je n’étais pas trop douer pour ça ^^.

Le lendemain il arriva avec les différent gabarit celui la poupe, de la proue des membrures et l’étrave, au bout de quelques  semaine nous finissions enfin d’assembler les différents morceaux ensemble nous obtenions après de gros efforts le squelette du bateau. J’étais fier  du squelette mais surtout de tout ce que mes amis et moi avions abattu comme boulot  mielpops qui était venu voir le déroulement des opérations  au final c’était retrouvé à travailler avec nous, même papy skouiky  était venu donner un coup de pattes ^^  …

 Après le squelette nous commencions à mettre les bordés mais il avait fallu trouver un moyen pour  assouplir les planches … marronne m’apporta la solution très rapidement … assouplir les bordés avec de la vapeur d’eau. Au mois de juillet on avait enfin la coque de notre bateau. J’avais demandé au plus grande couturière de nutsy de me confectionner le spinnaker et le foc.
 j’avais demandé à mélonie qui avait un grand sens artistique de venir peindre le bateau. Fin janvier le bateau était enfin  prêt à être mis à l’eau  mais un dernier problème se posait qui choisir comme marraine ?? Avec le nom que portait le bateau « arachide » j’avais enfin décidé ça serait tikettak010 il n’y avait qu’elle pour être marraine de ce bateau …
le baptême se passa  bien une grande fête  mémorable  ..; quelques jours plus tard  je prenais enfin la mer pour ce qui serait un grand voyage

Deux jours de navigations une mer calme, peu agitée. Aucun problème d’équipement à par le spi qui c’était déchiré un peu lors d’une manœuvre  mais bon pas de quoi s’affoler du moins pour le moment.

La météo n’avait pas prévu d’avis de grand frais et pourtant, à l’horizon des nuages noir arrivaient tout droit sur moi  et mon embarcation baptisé « Arachide ». On aurait pu  croire au  retour de st mesquin.    Pas le temps d’attendre d’un bond je  me dirige vers la barre hop un coup  à tribord pas pour faire face  à ce qui s’avérait être une tempête mais pour la fuir. La chasse à l’écureuil qu’avait entreprit la tempête dura seulement quelques minutes.

Les vagues commençait à lécher le haut de la coque puis des paquet de mer venant de je ne sais ou nettoyait tous ce qui se trouvait sur le pont à par moi. Puis un craquement le mât venait de se briser en deux, à l’aide du spinnaker le bout de bois qui venait de d’être arraché venait dans  ma direction … ouf juste le temps de l’éviter …

Pourquoi était elle déchaînée comme çà ?je ne savais pas comment gérer la situation mon grand père m’avait dit pourtant que la mer pouvait être  douce mais une fois  déchaînée on ne pouvait rien faire.  après moult manœuvres pour mettre mon canot bout au vent pour éviter qu’elle   prenne l’eau , une seule solution enlever la dérive pour éviter de chavirer quelle puissance  cette mer je me battais en vain je  savais que jamais je ne pourrait rivaliser avec  cette furie mais je me battais comme je pouvais , je me déplaçais de la poupe a la proue , de tribord a bâbord  un véritable marathon pour éviter le pire…

 une  bataille qui dura une vingtaine de minutes , qui  pour moi furent des heures voir des jours . La fatigue commençait à se faire sentir. J’étais moins vigilant le bateau gîtait de plus en plus je retourna vite à la barre mais en me retournant la bôme percuta ma tête et je me retrouvais à l’eau … puis plus rien … un pleur ou presque  non une mouettes!!! J’ouvre les yeux une plage un rêve non!!!! Voila ce qu »il restait de mon embarcation, un plaque avec marqué dessus arachide et un filet qui me serait sûrement d’uni secours …

Quoi ? Qu'est-ce que j'apprends ? Mielpops a rejoint l'île à bord d'un bâteau à moteur ? C'est un scandale. Et en plus il a laissé papy skouiky à l'eau :p

Oui,oui, mielpops a un bateau à moteur. Et c'est pas juste. Il est passé à côté de moi comme un fou. Sans me regarder, moi qui ne sais pas nager. Je lui donnerai pas mes grains de riz sur l'île.... Alors là, s'il a faim faudra pas qu'il compte sur moi. Non mais...

Je crie aussi au scandale!   :-)

Coucou tout le monde !!

Je viens vous compter mon équipée Nut’s Lantha !

Voyant tout le monde s’afférer le matin du grand départ je me décidai à fabriquer mon radeau.

A partir du stock de planches normalement prévu à la construction de mon nif je battis la trame de mon bateau de fortune. Clous, vis, corde, bobine, marteau et pansements me permettaient d’arriver à dompter mes planches pour en faire des fondations solides.

N’ayant pas de bâche, je démontai mon chapiteau pour le remonter et le fixer sur mon radeau, le résultat ne fut pas trop mal ! Mon radeau était ainsi très gai et coloré.

J’aménageai à l’intérieur une paillasse et une caisse de vivre ainsi qu’un bidon d’eau.

Mon deltaplane me servit de voile et les pieds de ma chaise d’ordinateur d’hélices.

 

Les concurrents se jetèrent à l’eau….quelle panique !! Quel brouhaha !!

Le stress m’envahit, et si je coulais ? Bonne nageuse certes mais paniquée je n’irais pas loin !

Je me lançai sur l’eau, le vent me poussant jusqu'à mi-distance de l’ile. Le vent disparu alors aussi vite qu’il était venu.

J’eu alors l’idée d’appeler mes amis les dauphins, ceux-ci toujours portés de bons services m’aidèrent en tirant mon radeau jusqu’à l’ile.

 

Mielpops était déjà là, ainsi que certains autres que je ne connaissais pas.

Arf des araignées ! Miellllllllpopsssssssssssssssssss aide moi !!!!!!

 

To be continued….

quoi, noize, il ne t'a même pas prise dans son bateau? miiiiiiiel !!!

Non zazette la galanterie kureuillesque n'existe pas faut croire.