Voici un sujet d'échange pour vos meilleures recettes mesquines.
Si vous avez un truc pour réussir à coup sur votre savon pH fou ou si la préparation d'un corbeau de malheur n'a plus de secret pour vous, partagez avec les autres...
Pour le moment, je me prépare des fourmis en folies. Je vais vous confier tous les secrets de la recette.
D'abord, il faut faire ça un jour où le temps est assez beau. Les fourmis sont fragiles, elles n'aiment pas la pluie.
Il faut 4 jolies fraises rouges et sucrées.
Vous les placez dans un endroit chaud et humide, de façon à ce qu'elle perde leur éclat rouge et deviennent noires, flétries et couvertes de moisissures. ( Ne pas négliger cette étape, elle est très importante)
Seulement lorsque l'odeur devient insupportable, vous les coupez en petits morceaux et vous les mélangez avec les sympathiques habitants d'une fourmillère . Personnellement, je choisis toujours un arsenal de fourmis rouges, elles sont beaucoup plus piquantes.
Placer ce mélange dans un bocal fermé ( et oui, sinon, ça déborde....) et laisser reposer une nuit.
Le lendemain, vous filtrez la préparation, et c'est prêt à envoyer...
Bon appétit !
mesquinerie de petit joueur... tu en as mangé pendant deux jours, tu en redemandes encore ?
Bien ! Les choses étant remises dans leur contexte et les perturbateurs renvoyés à leur place, je m'en vais vous donner la recette de la méchanceté de l'abeille.
Comme chacun le sait, les abeilles sont de petites bêtes travailleuses qui ont de ce fait besoin de beaucoup de sommeil. Le secret de l’agressivité d’un essaim est de régulièrement les réveiller en pleine nuit, en prenant soin de choisir un horaire différent à chaque fois pour ne pas qu’elles s’habituent au décalage. La méthode est simple : Vous surgissez dans la nuit en braquant votre lampe de poche sur la ruche et en criant méchamment : « coucou ! » Puis vous les enfumez avec du gaz lacrymogène et vous profitez de ce qu’elles soient en pleurs pour leur chiper leur miel. Fortement agacées, les yeux cernés et les poings serrés, voilà vos abeilles fin prêtes à frapper ! Et alors là, croyez moi, il vaut mieux s’écarter…