petite lame
Titre :
Aventurier(e)
Pas encore installé
Âge :
15 an, 5 mois, 11 jours
il s'agit de voté pour le cureil dont le récit de vacance et l'etage dans lequel il l'a illustrer t'a plu .
les participants de ce concour instauré par Raleur sont :
POUPEE
texte posté :
Je vais vous raconter une aventure qui est arrivée à mon humaine quand elle était partie en Tunisie!
Elle était allée à Tabbarka, dans le nord de la Tunisie, à une dizaine de kilomètres de la frontière algérienne; c'était la 2ème fois qu'elle allait dans cet hôtel. L'année avant, elle s'était surtout reposée car elle souffrait une grosse entorse de la cheville et elle s'était jurée de revenir l'année suivante pour s'éclater avec toutes les activités prévues dans ce club.
La chose qui l'attirait le plus, c'était la balade à dos de chameau, bien qu'elle se méfiait de ces bestioles, elle mourait d'envie de faire cette petite excursion. Il y avait 3 chameaux et 5 chevaux. Les chameaux étaient couchés à terre pour que les touristes puissent grimper dessus, mais, ce n'était pas une chose facile quand même parce que celui qui lui était destiné était.. disons.. de mauvaise humeur et chaque fois qu'elle s'en approchait, il voulait la mordre. Quelle péripétie pour pouvoir s'asseoir enfin sur la selle... enfin... quand je dis la selle... c'est un grand mot! Disons plutôt un tas de sacs avec une armature en bois dessus, hum!
Le grand moment est arrivé! Tout le monde est installé sur sa bestiole respective, il ne reste plus qu'à faire lever les chameaux... Mais, quel est ce cri d'horreur!? C'est mon humaine, pardi! Elle a failli passer par-dessus la tête du chameau quand il s'est mis sur ses pattes arrières, puis, elle a failli rouler en arrière quand il s'est redressé! La pauvre! Elle est passée par toutes les couleurs de l'arc en ciel!
Ouf! C'est fait! La balade commence... finalement, on n'est pas trop mal installée sur ces bestiaux... la promenade est vraiment agréable... jusqu'à ce que le troupeau arrive devant un bras de mer à traverser et là.... horreur! Le chamelier fait coucher les chameaux pour faire descendre les touristes.... Le hurlement qu'elle a poussé mon humaine! Parce que quand le chameau se baisse,, c'est bien pire que quand il se dresse!!! On a vraiment l'impression qu'il va faire un cumulet et qu'on va se faire un de ces plongeons! C'est que c'est haut ces bêbêtes-là!
Mais pourquoi les a-t-on fait descendre ? Tout simplement parce que pour passer l'eau, il faut être à dos de cheval! Car les chameaux se roulent dans l'eau, alors avec des humains sur eux, c'est pas possible! Quoi!? Il va falloir monter sur un cheval ? Oh non! Pas ça, par pitié! "Mais si ma gazelle, tu vas voir, ça va bien se passer, je vais monter derrière toi" Ohlala! D'abord, il a fallu qu'elle monte sur le canasson! Puis, le chamelier est monté derrière elle pour prendre les rênes, et voilà, c'est parti.... c'est même parti très vite.... au galop s'il vous plaît! Le cri d'horreur de mon humaine!!! Décidément, les bestioles, c'est pas vraiment son truc!
Quand tous les touristes ont traversé le bras de mer, elle a dû remonter sur le chameau pour la 2ème partie de la promenade, la pauvre, elle était vraiment traumatisée...
Enfin, ça lui a fait des souvenirs mémorables que j'adore écouter quand elle les raconte à ses amis....
illustration : troisieme etage en partant du bas.
PETITE LAME
texte posté :
voilà le résumé assez bref d'une de mes aventure faites pendant mes vacances :
j'ai quitté Noisettes Land à sept heures,valise en main je fait un dernier adieux à mon chere nid.
"le Peanut" bateau de croisiere levait l'ancre à 10 heure du mat ,j'avais donc tout mon temps pour aller grignoter quelques glands et flanné sur le quai.finalement on embarqua .tout essouflé je manquai de prendre le bateau car en passant sous une échelle ,un pot de peinture m'était tombé dessus et j'avais du retourné à mon nid changer de vetement.
Durant le trajet qui devait nous mener de noisettes land à Monte nutso ,je fis la connaissance de plusieurs personnalités et avec mes nouveaux amis nous fimes des parties de billards et de cartes. je montais sur le pont et le capitaine m'informa que nous ne tarderions pas à accosté l'ile dont je croyais distinguer les traits.
Soudain le bateau fut attaqué par des navires pirates qui deployaient leur sombres drapeaux noires avec un crane d'écureil et des os croisés en arriere plan.tout le monde était en effervescence et le capitaine avait beau réclamé l'ordre personne ne l'écoutait.tous voulaient sauvé leur fourrures.les canots de sauvetages furent lancés à la mer et bientot tous quittérent le bateau qui sous l'action des pirates ne tarda pas à etre pillés.
au petit matin je me retouvais sur une berge.mon canot avait du etre renversé par une vague et moi propulser sur cette ile.je cherchais mes compagnons de voyage mais ce fut vain.je me décidé alors à explorer cette immence foret qui couvrait presque toute l'ile.
Apres deux jours de vagabondages je tombai sur un petit village isolé.
Le chef tres hospitalier m'accueillit et m'hébergea.je remarquai que tout les habitants du village étaient couverts de tatouages blancs fait avec la seve d'hévea me précisa le chef.Apres m'etre reposé le chef m'invita à me joindre au banquet qu'il donnait tout les soirs de pleine lune.
Un grand feu avait été élevé et les tables tout autour étaient chargés de toute sorte de fruits. l'odeur des figues et mangoustans exotiques emplissaient la nuit d'un parfum doux et suave.
je m'en souvient comme si savait été hier. des écureillettes vinrent danser en cercle autour du feu et furent acclamés par tout les habitants présent.
je terminais ma soirée à observé la pleine lune et à boire une sorte de thé fait à base d'écorce d'orange puis j'allait me rposer dans un tente mit à ma disposition par le chef.
le lendemain le village était méconnaissable ,il avait été attaqué par une autre tribus à en entendre les dires des villageois.je cherchais le chef pour en savoir plus mais à mon grand étonnement il me recut froidement et m'accusa d'etre à la base de leur malheur.une petite écureilette avait été kidnappée ,il m'ordonna de me rendre chez la tribu ennemie et de ramener la petite Noisette a moins d'etre assez cureil pour subir l'autodafé.cela me glaca les veines et évidement sans me faire prier j'entreprit le sauvetage de cette petite Noisette.
L'entrée était gardés par des cureils armès jusqu'au dents ,caché derriere un arbre j'épiait leur moindre mouvements et enfin je me décidé à passé à l'action.tel j'attirais leur attention en lancant une pierre loin sur ma gauche.lorsqu'il alèrent voir je voulu me faufiler par la porte mais ils m'avaient déja vu .je réussit à entrer dans le village mais l'alerte fut donnée .quelques cureils me poursuivirent je réussit à les semer en sautant dans un poulailler.quand je resortit j'avais des plumes partout .les cureils lancés à ma poursuite me prirent pour un certains monstres et s'enfuir sans exeption.je retouvé sans difficultés Noisette que je ramenai à son village.
Pour me remercier et se faire pardonner le chef m'accorda l'autorisation d'aller me baigné dans leur source sacrée.j'avais à peine pénétrer dans la foret qu'un monstre tout couvert de plume me prit pour un semblable ,il me poursuivit et je dû fuir et me réfugier dans un arbre (moi qui ne savais pas grimper),de mon perchoire j'enlevais les plumes qui me recouvrait et le monstre voulut à present me manger.c'est alors que je vit un bateau ,au loin je fit quelques signes,enfin ils me repèrent,quelques marins me secoururent et comme je leurs narrèrent mon histoire ces braves me dépossèrent sur une petite ile de vacance,l'ile du croissant de lune ou je passai le restant de mes vacances.
illustration : quatrieme étage à partir du bas
CHOK OLLA
texte posté :
Une petite histoire qui est arrivée il y a quelques années à l'humaine cachée derrière chok olla, qui parlera à la première personne.
Avec ma petite famille, nous décidons de partir 15 jours dans un camping vers Perpignan. Et comme mon beau-père n'habite pas très loin, nous partons un jour plus tôt pour dormir chez lui, et éviter les gros bouchons du samedi. Nous passons tous à table, et je commence à avoir très violemment mal à une oreille. Le lendemain, direction Perpignan et le camping, et mon mal d'oreille, non seulement ne passe toujours pas, mais il empire. Lorsque nous arrivons, nous apprenons qu'un médecin fait des permanences le matin et le soir, chaque jour. Donc, ça commence bien, je vais le voir le lendemain matin et verdict: une otite externe avec interdiction de mettre la tête sous l'eau pendant plusieurs jours. Chouette, ces vacances commencent bien :p
Nous passons ces 15 jours dans un chalet. Nous le visitons et mes enfants voient leur chambre: deux lits superposés. Mes deux grands enfants se battent pour dormir en haut. Vu que nous restons deux semaines, nous décidons de leur accorder une semaine chacun, et mon fils commencera. Nous sommes en milieu de première semaine, en pleine nuit, tout le monde dort à poing fermé, et nous entendons un gros BOUM. Nous nous levons et trouvons mon fils parterre, il a loupé l'échelle pour aller aux toilettes, visiblement. Il termine sa nuit sur le canapé. Le lendemain matin, il doit aller à l'animation, je le réveille donc et vois son œil fermé, bleu, enflé, et son oreille toute rouge. Direction le médecin, qui se trouve être le même que celui que j'avais vu quelques jours plus tôt. Verdict: un beau coquard, mais rien de spécial pour l'oreille. Je ne vous dis pas le regard des gens quand vous vous baladez ^^
Enfin, mon otite se guérit et je peux nager en mettant la tête sous l'eau.... un jour ou deux^^ Car ma deuxième oreille se met à me faire très mal à son tour :p Donc médecin pour la troisième fois, et toujours le même qui commence à se marrer franchement en me voyant dans la file d'attente :p Belle otite externe (il n'arrive même pas à regarder à l'intérieur de l'oreille tellement c'est enflé) et nouvelle interdiction de mettre la tête sous l'eau. Et là, il me dit gentillement que chaque année, il a une famille de poissards ^^ Chouette, ça tombe sur nous :p
Notre séjour se termine, et comme nous ne reprenons pas le travail de suite, nous décidons de passer quelques jours chez mon beau-père. Le dimanche, mon fils (celui du coquard :p) joue tranquillement (pour une fois^^) à sa DS, assis à cheval sur une rembarde. Son frère passe à côté de lui et le pousse. Il se plaint d'abord de son épaule. La journée passe, nous allons à la plage, et mes enfants chahutent avec leur père. Moi, je reste éloignée et je regarde beaucoup mon fils, voir comment il se comporte. Il n'a pas l'air de souffrir énormément. Nous rentrons, et avec la soirée, il se refroidit et commence à avoir vraiment mal au poignet. Nous lui mettons de la pommade, nous bandons, et hop, tous au lit. Lundi matin, il se lève, et sans même enlever la bande, nous voyons que ça a bien gonflé. Mon mari l'emmène aux urgences. Verdict: fracture "en motte de beurre" et plâtre. Nous sommes en 2003, l'année de la canicule. Nous ne pouvons rien faire: pas de plage à cause du sable, pas de balade (trop chaud), pas de baignade. Donc, nous rentrons chez nous où les vacances se terminent bien ^^
illustration : 3eme étage à partir du bas
MARRONNIER
texte posté :
Alors je laisse ma maîtresse vous raconter son histoire qui est vraie.
C'était lorsque j'étais une ado, avec ma cousine Marie un peu plus jeune de moi et mes 2 tontons.
Nous avions l'habitude de passer un mois de vacances aux Sables d'Olonne. Nous avions loués des appartements juste en face de la plage car maman n'aime pas trop se baigner. Elle préfère regarder les autres...
Nous avions un petit bâteau pneumatique à rames. Et qui ramait ? un tonton ! l'autre suivait en nageant le bateau.
Un jour comme tous les autres jours nous partons au bord de la cote avec ce bateau. Alors vous avez une idée de destinations les filles ? Marie me regarde en souriant et je comprends, ben oui, j'aimerais bien qu'on aille jusqu'à l'horizon tu vois là bas où le ciel touche la mer. ok c'est parti, tout le monde riait.
Il faut savoir qu'à l'océan les vagues cassent à une certaine hauteur de la côte donc faut faire attention pour que le bateau ne se renverse pas !
Etonnées nous sommes arrivées à l'horizon, effectivement plus de cote en face de nous et oh miracle un autre horizon se présentait devant nous ! mais que ce cachait il derrière cette autre horizon ?
Tu nous y emmène papa dit Marie !
Ben non hein les filles, je viens de ramer sur 30 kms maintenant on retourne sur la cote !
Nous bonnes filles, acceptons car c'était presque midi et nous avions faim ! un bon crabe décortiqué nous attendait....
Le bateau était équipé d'une petite corde pour que notre oncle rattrappe la corde au cas où....
Arrivé au moment critique évidement nous voyons arriver une vague énorme, nous savions qu'elle allait casser à cet endroit précis et le tonton nageur n'a pas réussi à rattrapper la corde pour remettre le bateau debout.
Plouf ! Nous voici dans l'eau toutes les 2 avec le bateau retourné. Ma mère était à son balcon et nous voyait et de la haut elle voyait les 2 tontons qui avec leur bras cherchaient leur fille et leur nièce dans l'eau. ! plouf, plouf mais où est ce qu'elles sont ? Si on rentre sans elles on va ramasser une de ces "raclées" ! Faut les chercher, on rentrera quand on les aura trouvées.
La première sortie de l'eau enfin qui est remontée et qui n'a pas reçu le bateau sur la tete c'est moi, ! mais je vous dis pas dans quel état ! un bon bain de mer fait du bien ! Quelques secondes après arrive Marie dans le même état que moi !
Les 2 oncles soulagés, ! mais n'avaient pas pu faire grand chose c'est nous qui nous nous étions débrouillées pour refaire surface;
Vu que l'appartement était à 2 pas nous voilà parties, Marie me donnant la main et moi à l'appart où ma maman nous attendait en rigolant comme une folle nos voyant arrivées ! Nous avons pris un bon bain, séchés les cheveux trampés,
et mangé notre bon crabe avec de la mayo, le reste de la famille est arrivé après avec le bâteau.
Mais cela, ne nous a pas empéchées de recommencer le lendemain mais cette fois pas d'horizon !
L'horizon a toujours été fascinant pour des enfants nous ne savions pas ce qu'il y avait derrière et surtout pourquoi le ciel ne touchait pas la mer !
Voilà, petite histoire sympa, je ne sais pas si elle vous aura plu, mais nous nous avions bien rigolées.
illustration : 14 eme étage à partir du bas
RABBIT
texte posté :
je vous raconte ce qui m'est arrivé il y a 5 ans au Canada pendant mes vacances.
J'avais loué une voiture et je remontais le parc naturel des rocheuses en des faisant des randos autant que possible..
J'arrive, dans le Parc naturel de Yoho, au "lac émeraude" ....qui porte à raison son nom tellement sa couleur est belle.
je fais le tour du lac, j'entends d'autres touriste qui proposent d'aller découvrir, en haut de la montagne, la source de la rivière qui alimente ce lac... je lie connaissance avec eux, je les suis, 30 minutes de montée abrupte dans la montange, sympathique, on discute, il y avait du monde..
Nous arrivons en haut des cimes, sapins à perte de vue et collines de rochers, immenses, derrière lesquelles on apercevait la chute d'eau, qui n’était qu'un filet en été mais pouvait se transformer en torrent en cas de pluie....
20 minute de balade dans ce paysage merveilleux pour atteindre la chute, à travers des rocailles, des rus, des petites mares,en faisant très attention de ne pas glisser et de ne pas se tordre les pieds, car très escarpé..
Je traine un peu et un peu plus tard je vois mes compagnons de rando qui me font signe de loin qu'ils repartent, sans m'attendre...car me croyant plus proche d'eux que je ne l'étais en réalité. Il ne restait plus personne.
Les voila qui disparaissent derrière une colline de roches et je les perds de vue!... je me dis c'est pas grave je tourne encore un peu pour profiter de ce paysage puis voyant le soleil qui disparaissait peu à peu, je décide de repartir également...
Mais voila que je me retourne et que je ne reconnais plus du tout le paysage! rien:!! que des pierres à pertes de vue. j'étais en contrebas, je ne voyais rien, je ne reconnaissais rien de rien, la peur me gagne, j'étais seule dans des monts où parfois trainent des ours ou des chats sauvages, et sans eau, ni pull, ni rien!!! et la nuit tombe vite et tôt en haute montagne!
L'affolement me prenait, je tournais en rond, je ne trouvais plus mon chemin, c'était effrayant de se sentir aussi perdue, démunie!
Mais je me reprends malgré la trouille, me force à respirer pour me calmer, bondissant par dessus les grosses caillasses comme un bouquetin alors qu'une heure plus tôt j’hésitais, faisant attention au moindre pas de peur de me tordre une cheville sur ces caillasses!!!
Mon cerveau n'arrêtais pas , je me répétais dans une litanie "ne perds pas ton sang froid, ne perds pas ton sang froid"
J'ai éprouvé ce jour là exactement ce que signifiait l'expression "la peur donne des ailes": je volais pratiquement par dessus les rochers pour retrouver mon chemin! Je faisais des bonds de biche au dessus des pierres !!!
Bien sur j'ai fini par reconnaitre les endroits par lesquels j'étais arrivée puis j'ai retrouvé l'entrée du chemin de rando... sinon je ne serais pas là :) Mais je me demande encore comment j'ai retrouvé :)
illustration :13 eme étage à partir du bas